Agora de l'Ermitage Libres propos d'un ermite sur les faits de société |
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| Coke en stock | |
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Admin Admin
Messages : 9371 Date d'inscription : 25/04/2008
| Sujet: Coke en stock Lun 28 Juil - 6:55 | |
| Dans la mouvance de l'Arche de Noé et pour procurer des petits nenfants aux blancs sans avoir recours à l'immigration ni a sa régularisation... et afin de se procurer un stock d'esclaves dociles et soumis la France relance l'adoption ..;cette vieille idée impérialiste et coloniale qui sous couvert de charité déracine des êtres et les détruits en les privant de leur culture et de mleur identité La secrétaire d'Etat chargées des Droits de l'Homme envisage la création, "sous la houlette des ambassadeurs", d'un Peace Corps "à la française" pour faciliter l'adoption par les familles. La secrétaire d'Etat chargée des Affaires étrangères et des Droits de l'Homme, Rama Yade, envisage la création d'un Peace Corps "à la française" pour soutenir le plan de relance de l'adoption internationale, dans un entretien à Aujourd'hui en France/Le Parisien lundi 28 juillet. "De jeunes français vont être formés et envoyés à l'étranger pour faciliter l'adoption par les familles françaises", a annoncé Rama Yade, précisant que "ces volontaires seront positionnés auprès des ambassades de France". "Ils seront placés sous la houlette de l'ambassadeur et d'associations spécialisées chargée de garantir l'éthique de leur action" a-t-elle ajouté. Cambodge "La première à en accueillir sera celle de Phnom Penh au Cambodge, et ceci dès le mois d'août", a-t-elle indiqué. "Ce projet sera étendu à quatre nouveaux pays à partir d'octobre, et une vingtaine à partir de 2009 parmi les 74 où la France adopte", a souligné la secrétaire d'Etat. Interrogée sur le recrutement des volontaires, Rama Yade a annoncé qu'elle allait signer "une convention avec l'Association des volontaires du progrès, une association laïque française qui fait du volontariat international depuis quarante-cinq ans". Par ailleurs, elle a précisé que le projet sera financé "à la fois par le ministère des Affaires étrangères et européennes, par des entreprises privées et", espère-t-elle, par "les collectivités territoriales". C'est INADMISSIBLE
Dernière édition par Admin le Sam 23 Aoû - 7:13, édité 1 fois | |
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Messages : 9371 Date d'inscription : 25/04/2008
| Sujet: Rappels utiles Mar 29 Juil - 7:01 | |
| La Convention de la Haye du 29 mai 1993 porte sur la protection des enfants et la coopération en matière d’adoption internationale. Elle a été signée par la France le 5 Avril 1995, ratifiée le 30 Juin 1998, et elle est entrée en vigueur le 1er octobre 1998. Elle concerne 70 pays dans le monde dont 38 sont considérés comme des pays d’origine et les autres (32) comme des pays d’accueil. La liste des pays évolue avec les nouvelles adhésions, elle est tenue à jour sur le site www.hcch.netSelon son article 2, c’est le pays de résidence des adoptants où vivra l’adopté qui doit prendre en charge les dossiers des adoptants, et non le pays dont ils sont citoyens. La Convention de La Haye formule quatre grands principes :
L’intérêt supérieur de l’enfant doit être la considération primordiale.
L’adoption internationale ne peut être envisagée qu’à défaut de solution nationale dans l’Etat d’origine de l’enfant : la CLH consacre donc son caractère subsidiaire L’instauration d’un dispositif de coopération entre Etats signataires permet de prévenir tout profit indu, en d’autres termes, toute transaction financière en échange d’un enfant.
Les adoptions réalisées selon cette même Convention bénéficient de la reconnaissance des Etats signataires. | |
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Messages : 9371 Date d'inscription : 25/04/2008
| Sujet: Une pédophilie sournoise qui n'ose se dire- une déracinement coupable et méprisable ! Mar 19 Jan - 16:10 | |
| Adoptions: la France va accélérer le transfert des enfants haïtiens
Après quelques jours de flou, Sarkozy a fixé la ligne de conduite: les enfants pour lesquels le jugement d'adoption par des familles françaises avait été rendu pourront partir pour la France de manière anticipée.
Faut-il ou non rapatrier d'urgence vers leurs nouvelles familles à l'étranger les enfants haïtiens qui étaient en cours d'adoption et qui se retrouvent pour certains à la rue après le séisme? Les Pays-Bas et les Etats-Unis ont répondu oui.
En France, pays où chaque année sont adoptés plus de 700 enfants haïtiens, le flou s'est maintenu plusieurs jours, entre reconnaissance du risque sanitaire et refus de rapatrier dans la précipitation des enfants dont le dossier d'adoption n'aurait pas été encore suffisamment avancé. Inacceptable pour certains parents réunis dans un collectif, qui ont interpellé le gouvernement via une pétition pour réclamer l'évacuation des enfants.
Hier lundi, Nicolas Sarkozy a fini par reprendre les choses en main: après réunion à l'Elysée des ministères concernés, il a été décidé que «compte tenu de la détresse et de la préoccupation légitimes des familles d’adoptants en Haïti, et par dérogation aux procédures habituelles, les enfants haïtiens pour lesquels un jugement a été rendu (dernière étape du processus avant l'obtention du visa pour le départ de l'enfant, ndlr) pourront faire l’objet de transferts vers la France». «Il s’agit d’une mesure d’assouplissement très significative», a fait valoir le Quai d'Orsay.
Le ministère rappelle que «le renfort consulaire spécialement envoyé en Haïti depuis hier (dimanche) est chargé, en lien avec le Centre de crise et l’ambassade de France à Port-au-Prince, de s’assurer de la situation des crèches, des orphelinats et de l’ensemble des enfants qui s’y trouvent, de veiller à leur inscription dans les circuits de distribution d’aide ou, si nécessaire de leur apporter cette aide directement».
«Tous les enfants haïtiens qui seraient en grande difficulté médicale peuvent faire l’objet d’une évacuation sanitaire, y compris naturellement les enfants qui feraient l’objet d’une procédure d’adoption», selon le ministère. «La priorité est aujourd’hui l’assistance médicale et l’aide humanitaire d’urgence vers l’ensemble des sinistrés, et notamment les enfants qui, nous le savons, sont parmi les populations les plus fragilisées», réaffirme enfin le Quai d’Orsay. | |
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Messages : 9371 Date d'inscription : 25/04/2008
| Sujet: Inadmissible traite des noirs: laisses les enfants avec leurs racines culturelles et sociétales ! Mer 20 Jan - 16:20 | |
| Adoption en Haïti: «Ces enfants sont des citoyens français en devenir» Un collectif de parents adoptants s'est constitué pour réclamer le rapatriement d'urgence des enfants en cours d'adoption en Haïti alors que des associations appellent à ne pas se précipiter. Entretien avec l'un des parents, Eric Ruel. Par CORDÉLIA BONAL Faut-il rapatrier d'urgence les enfants en cours d'adoption en Haïti, premier pays pour l'adoption depuis la France et où certains orphelinats ont été détruits par le séisme? La controverse enfle de jour en jour. D'un côté, les parents adoptants, qui pressent le gouvernement français d'accélérer le cours normal de la procédure pour mettre les enfants en lieu sûr en France. De l'autre, les organisations de défense des droits de l'enfants, dont l'Unicef, qui mettent en garde contre des risques d'adoptions illégales dictées par l'émotion. Jusqu'à Bernard Kouchner, ministre des Affaires étrangères, qui s'est inquiété ce mardi: «Sous le bon prétexte de sauver des enfants (...) il ne faut pas qu'on soit accusé d'enlèvement». Une crainte infondée quand l'on connaît les spécificités de l'adoption en Haïti, répondent les parents, organisés en collectif. Parmi eux, Eric Ruel, en cours d'adoption d'une petite fille de trois ans et demi (sortie saine et sauve du séisme) et qui s'exprime au nom des parents adoptant d'enfants pris en charge dans l'une des 74 «crèches» d'Haïti, Notre-Dame de la Nativité, totalement détruite par le tremblement de terre. Quelles nouvelles avez-vous aujourd'hui des enfants de la crèche Notre-Dame de la Nativité? Sur 126 enfants, 70 sont décédés. Il y a une dizaine de blessés, dont une petite fille sortie des décombres quatre jours après le séisme. Le bâtiment étant totalement effondré, les enfants sont devant, dans la rue, sans tentes, sans nourriture. Il semble que, grâce à l'alerte lancée par des médias sur place, des secours médicaux soient intervenus. Mais sur l'aspect alimentaire la situation reste extrêmement alarmante. Le Quai d'Orsay a annoncé hier mardi que «les enfants haïtiens pour lesquels un jugement a été rendu pourront faire l'objet de transferts vers la France». N'est-ce pas ce que vous demandez? C'est très insuffisant, car l'étape du jugement n'intervient qu'en toute fin de procédure. Pour Notre-Dame de la Nativité seuls 20% des dossiers sont concernés. Cette position française est bien timorée par rapport à celle des autres pays: les Pays-Bas, la Belgique, les Etats-Unis se sont engagés à rapatrier des enfants dès ces jours-ci. Pourquoi pas la France? Les craintes qui s'expriment sur le risque d'adoption mal contrôlée, dans la précipitation, ne vous semblent-elles pas recevables? Sur le principe si, bien sûr. Nous comprenons aussi que la France, sans doute échaudée par l'épisode de l'Arche de Zoé au Tchad, veuille prendre toutes les précautions. Mais nous sommes ici dans un schéma totalement différent. Pour entendre cela, il faut comprendre la spécificité haïtienne en matière d'adoption. Tout enfant haïtien arrivant dans une crèche, est, dès l'amont du processus d'adoption, confié à une famille lors d'une procédure appelée apparentement. Je précise que ces crèches sont parfaitement agréées par l'IBESR (Institut du bien être social et de recherches, l'organe saisi des dossiers d’adoption, ndlr). Cet apparentement est un acte juridiquement et légalement authentifié devant un juge de paix par l'étape de la «comparution», en présence des deux familles: le famille adoptante et la famille biologique. Ce qui signifie que tous les parents adoptants se sont rendus en Haïti, j'y suis allé pour ma part début janvier. Lors de cette semaine passée à la crèche, un lien se crée avec les enfants. Les dossiers sont officiellement transmis à l'Etat français, à la crèche et chez un avocat. Ce que je veux dire par là, c'est qu'en aucun cas il ne s'agit de prendre des enfants au hasard dans la rue en vue d'une adoption potentielle. Chacun des enfants de cette crèche est aujourd'hui reconnu légalement comme apparenté à une famille française. Les preuves existent, les documents ont été légalisés à la fois par la France et par Haïti. Ces enfants sont tous des citoyens français en devenir, légalement reconnus comme tels par le gouvernement haïtien. Nous considérons que l'Etat a un devoir vis-à-vis d'eux. Mais les dossiers n'ont-ils pas disparu sous les décombres? La directrice de la crèche a confirmé qu'elle les avait encore en sa possession, tout comme l'avocat qui suit chaque étape de la procédure a tous les dossiers, il nous l'a confirmé hier encore au téléphone. L'un comme l'autre sont prêts à attester du contenu et de l'avancée des dossiers. Bien sûr, la processus légal doit suivre son cours, il n'est pas question pour nous de contester cela. Mais nous lançons un appel à parer au plus pressé en faisant venir les enfants dans leur famille d'adoption de sorte que l'on ne les oblige pas à cumuler les traumatismes: l'abandon, le séisme, et maintenant la recherche de survie. L'éducation passe aussi par la société d'origine, n'en faites pas des déracinés SVP | |
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Messages : 9371 Date d'inscription : 25/04/2008
| Sujet: Nouvelle traite des noirs...et des tinefantsnoirsaux yeuxronds Dim 31 Jan - 6:48 | |
| Des Américains arrêtés pour tentative d'enlèvement d'enfants AP | 31.01.2010 | 03:01
Des ressortissants américains ont été arrêtés à Haïti, soupçonnés de vouloir faire sortir 33 enfants du pays sans autorisation, a-t-on appris dimanche auprès du gouvernement haïtien.
Les suspects essayaient de quitter Haïti par la frontière avec la République dominicaine, a détaillé la ministre de la Communication Marie-Laurence Jocelyn Lassegue. Ils ont été placés en détention.
Sean Lankford, un Américain originaire de l'Idaho, dont la femme et la fille font partie du groupe de personnes arrêtées, a contacté l'Associated Press pour s'expliquer.
Il y aurait dix personnes, dit-il, toutes membres de la paroisse de la Central Valley Baptist Church de la ville de Meridian, dans l'Idaho. Elles se rendaient bien en République Dominicaine, où elles avaient établi un orphelinat dans l'enceinte d'un hôtel, et pensaient être munies des papiers nécessaires.
Ces personnes ont communiqué avec leurs proches depuis leur arrestation, par téléphone et textos. Selon M. Lankford, les autorités américaines avaient essayé de localiser le groupe samedi. AP | |
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Messages : 9371 Date d'inscription : 25/04/2008
| Sujet: Dix Américains arrêtés en Haïti pour adoption illégale Dim 31 Jan - 12:26 | |
| Dix Américains arrêtés en Haïti pour adoption illégale 31.01.10 | 10h20 PORT-AU-PRINCE (Reuters) - La police haïtienne a arrêté dix Américains pris en flagrant délit en train d'évacuer du pays 33 enfants dans le cadre d'un programme d'adoption illicite, ont rapporté samedi les autorités.
Les cinq hommes et cinq femmes, appréhendés vendredi soir, ont été placés en détention provisoire dans la capitale, Port-au-Prince. Les autorités craignent que des trafiquants ne profitent du chaos consécutif au séisme dévastateur du 12 janvier pour se livrer à des adoptions illégales.
Les suspects ont été interpellés à Malpasse, principal poste-frontière entre Haïti et la République dominicaine, à la suite d'une fouille routinière de leur véhicule.
"C'est totalement illégal", a déclaré Yves Cristalin, ministre haïtien des Affaires sociales. "Aucun enfant ne peut quitter Haïti sans l'autorisation adéquate et ces gens-là n'avaient aucune autorisation".
Joseph Guyler Delva, version française Eric Faye | |
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| Sujet: un vif débat oppose en France associations de parents souhaitant une accélération des processus d'adoption des orphelins haïtiens, et spécialistes de l'enfance prônant une très grande prudence pour éviter traumatismes et échecs. Mer 17 Fév - 17:02 | |
| Un mois après le séisme qui a dévasté Haïti, un vif débat oppose en France associations de parents souhaitant une accélération des processus d'adoption des orphelins haïtiens, et spécialistes de l'enfance prônant une très grande prudence pour éviter traumatismes et échecs.
Passé le premier choc des images du séisme du 12 janvier, des familles françaises qui avaient déjà entamé des démarches en Haïti ont multiplié les appels pour que les procédures d'adoption soient accélérées, au nom de l'"urgence humanitaire".
L'association Adoption sans frontières demande le rapatriement dans les plus brefs délais de tous les enfants "apparentés" à des familles françaises, "quelle que soit l'avancée de leur dossier d'adoption".
L'Unicef et la section française de l'association Défense des enfants international ont réagi en mettant en garde contre "toute précipitation", tout comme le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner, soucieux d'échapper aux accusations "d'enlèvement", "sous le bon prétexte de sauver des enfants".
Alors que 371 orphelins ont été accueillis en France depuis la catastrophe, la controverse a évolué vers les risques de traumatisme supplémentaire qu'entraîne pour ces enfants --déjà abandonnés et choqués par le séisme-- une arrivée sans préparation dans un contexte complètement étranger.
Pour l'association Enfance majuscule, "ce n'est pas tant la catastrophe de ce tremblement de terre que la manière dont ses conséquences ont été traitées qui risque de faire une trace traumatique durable dans l'histoire de ces enfants".
Et pour Pierre Lévy-Soussan, psychiatre et psychanalyste spécialiste de l'adoption, qui a assisté le 11 février à l'arrivée d'un groupe d'orphelins à Orly, "on aurait dû au contraire ralentir à l'extrême les procédures d'adoption au lieu de les accélérer". "Il ne faut pas mélanger l'adoptif et l'humanitaire, qui sont deux choses non superposables", dit-il.
Les adoptions d'urgence "compromettent le processus adoptif, mais aussi l'avenir psychologique des enfants, et, au pire, peuvent conduire à une maltraitance physique et psychique de l'enfant", estime-t-il avec deux de ses confrères.
Selon eux, plus de 85% des premiers petits Haïtiens arrivés en France sont dans un état de "désorganisation psychologique".
"La chronologie des troubles, qui n'existaient pas avant le départ d'Haïti, permet d'évoquer une cause traumatique aigue, précoce, liée au déplacement dans l'urgence des enfants, sans aucune préparation psychique", précisent-ils.
Consciente des risques, la secrétaire d'Etat à la Famille Nadine Morano a annoncé lundi la mise en place prochaine d'un centre d'accueil temporaire en Guadeloupe, un "sas" permettant aux familles adoptantes et aux enfants de faire connaissance pendant quelques jours avant le début de leur vie commune. Cette structure "respectera les procédures habituelles de l'adoption qui prévoient des rencontres préliminaires enfants/familles", a-t-elle expliqué.
"Un gadget" a rétorqué le Dr Levy-Soussan, qui interroge: "qui évaluera la mise en relation? Sera-t-elle suivie d'une suspension du processus si cela se passe mal?".
De son côté, l'association SOS Enfants adoptés, en pointe du combat pour l'accélération des arrivées, cite d'autres spécialistes comme Brigitte Allain Dupré, psychanalyste pour enfants, pour qui "le potentiel d'attachement dont dispose le bébé n'est pas illimité".
A ce jour, un demi millier d'orphelins sont en attente du feu vert des autorités haïtiennes pour venir en France. | |
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Messages : 9371 Date d'inscription : 25/04/2008
| Sujet: Des petits nenfants gentils pour les blancs en mal de poupées !...les autres peuvent crever dans la pauvreté et le choléra Dim 19 Déc - 16:04 | |
| que c'est beau l'occident !
Le collectif SOS Haïti enfants adoptés s'en prend à Kouchner Au lendemain de l'annonce de l'envoi d'avions pour évacuer des enfants en Haïti, la présidente du collectif a vivement déploré que l'ex-chef de la diplomatie n'ait pas pris cette initiative. Kouchner a déploré une «polémique désastreuse» 20 réactions Des enfants haïtiens dans un orphelinat, le 18 janvier à Port-au-Prince. (© AFP Julien Tack) La présidente du collectif SOS Haïti enfants adoptés, Emmanuelle Guerry, a fustigé, ce dimanche sur Europe 1, la gestion de l'ancien ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, l'accusant d'avoir négligé la «sécurité» des enfants haïtiens.
Au lendemain de l'annonce par le Quai d'Orsay de l'envoi d'avions pour évacuer des enfants en Haïti, l’associative a vivement déploré que l'ex-chef de la diplomatie n'ait pas pris cette initiative. «Cette évacuation, on la demandait depuis le lendemain du séisme» qui a frappé l'île en janvier, a-t-elle rappelé.
L’actuelle ministre des Affaires étrangères, Michèle Alliot-Marie, a annoncé samedi que la France avait affrété deux avions pour ramener des enfants haïtiens en cours d'adoption par des familles françaises. «M. Kouchner a préféré, au moment du séisme, arguer de la sécurité juridique des enfants, plutôt que de leur sécurité tout court. Avec l'arrivée de Mme Alliot-Marie, il en a été tout à fait autrement, on la salue, on la remercie», a poursuivi la présidente du collectif SOS Haïti enfants adoptés. Le collectif s'en est pris à plusieurs reprises à la politique de Kouchner.
«Nous avons fait tout ce que nous avons pu»
Interrogé par l’AFP sur cette accusation, Bernard Kouchner a refusé d'entrer dans une «polémique désastreuse» et souligné avoir agi dans le respect des procédures. «Franchement, ouvrir une polémique là-dessus, je m'y refuse. Nous avons fait tout ce que nous avons pu», s’est-il défendu, rappelant que depuis le séisme, 700 enfants adoptés étaient arrivés en France. «Il faut respecter les procédures internationales, c'est ce que nous avons essayé de faire, pour le meilleur bénéfice des enfants», a-t-il invoqué.
L'ex-ministre avait ainsi mis en garde contre les trafics d'enfants et justifié son approche prudente par la nécessité d'un statut juridique clair pour les enfants visés par une adoption en France. «Il était possible de ramener très vite ces enfants, puisqu'au moment du séisme l'ensemble des autres pays qui avaient des enfants en cours d'adoption ont trouvé un accord avec Haïti et ont ramené dans le mois et demi qui suivait des enfants», lui a opposé Emmanuelle Guerry.
«La France a choisi de faire les choses autrement, la décision politique de M. Kouchner a laissé six enfants morts en Haïti, donc oui je suis sévère», a-t-elle ajouté. «Je ne sais pas de quoi elle parle», a réagi Kouchner, soulignant que «dans des conditions épouvantables il y a beaucoup d'enfants qui meurent».
Depuis son apparition à la mi-octobre, l'épidémie de choléra a fait plus de 2.000 morts en Haïti, déjà ravagé par le séisme du 12 janvier (plus de 250.000 morts). Les résultats contestés de la présidentielle du 28 novembre ont provoqué ensuite des manifestations violentes dans le pays. | |
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Messages : 9371 Date d'inscription : 25/04/2008
| Sujet: Une honte ! on chercher les petits nenfants arrachés à leur culture ...et on se fout bien des autres...c'est vrai c'est des adultes...donc dérangeants Mar 21 Déc - 11:04 | |
| Regardez les ces égoïste partis chercher leur nounourstinenfants les arrachant à leur pays et leur culture pour l'égoïsme de couples frustrés !
tandis que les aides pour reconstruire le pays elles peuvent attendre !
l'image est typique de l'égoïsme de l'occident et de son nouveau marché aux esclaves...noirs bien sûr ! Un avion affrété par le ministère français des Affaires étrangères a quitté Paris mardi matin à destination d'Haïti pour ramener en France un premier groupe d'enfants haïtiens en cours d'adoption par des familles françaises, a indiqué le Quai d'Orsay dans un communiqué. (c) Afp Une centaine de parents ont décollé mardi de l'aéroport parisien de Roissy à bord d'un avion affrété par la France pour aller chercher leurs enfants adoptifs en Haïti et devraient être de retour à temps pour Noël. Les procédures d'adoption avaient été interrompues le 12 janvier par le séisme qui a fait plus de 250.000 victimes, les jugements et autres pièces administratives ayant disparu sous les décombres. "Un avion, affrété par le ministère des Affaires étrangères et européennes, a quitté Paris ce matin à destination de Port-au-Prince afin de ramener en France un premier groupe d'enfants haïtiens en cours d'adoption par des familles françaises", a indiqué un communiqué du Quai d'Orsay mardi matin. Lundi soir, la porte-parole du collectif SOS-Haïti-Enfants-Adoptés Emmanuelle Guerry avait indiqué à l'AFP qu'"environ 120 parents" devaient prendre place à bord afin de récupérer autant d'enfants. L'avion devrait revenir mercredi. Les enfants seront examinés par des médecins, en particulier en raison de l'épidémie de choléra qui a fait plus de 2.500 morts dans l'île. Une équipe médicale est d'ailleurs également à bord. Un autre vol effectuera une rotation au départ de la capitale française jeudi. Au total, 318 enfants haïtiens sont attendus en France cette semaine. Dépourvus de passeport, ils bénéficient d'un laisser-passer consulaire exceptionnel après accord entre autorités françaises et haïtiennes. Après de longs mois d'attente, les choses se sont un peu précipitées pour Nadia Boulkessof, maman adoptante de Rose-Dania, deux ans. "Je suis contente mais je suis un peu déboussolée parce que cela tombe brutalement, on n'a pas eu le temps de se préparer, c'est pour cela que je suis chez Ikea, pour préparer la chambre", a-t-elle raconté à l'AFP quelques heures avant le départ. "Je n'avais rien préparé, la dernière fois que j'ai acheté un jouet, c'était en décembre 2009 et avec le séisme qui a ravagé tous nos espoirs, et ceux des Haïtiens, par superstition, je n'ai plus rien acheté", a-t-elle poursuivi. Valérie Damilleville a elle aussi un peu été prise au dépourvu mais la chambre de Jean, 19 mois, est "prête". "J'ai dû monter son lit qui m'a été prêté par des amis, dimanche entre minuit et une heure du matin", a-t-elle raconté à l'AFP. "J'ai préparé des vêtements chauds, une doudoune, des chaussettes en laine, des petites chaussures, une petite salopette, des petits jeux, des biscuits, un biberon (...), j'ai mis tout ça dans un mini sac-à-dos". Mais les deux mamans ne cachent par leur colère d'avoir dû attendre si longtemps et fustigent la gestion de la crise par l'ex-ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner. Le collectif de parents a bataillé pendant des mois auprès des autorités pour faire revenir les enfants au plus vite. Sur le millier de bambins en cours d'adoption par des Français au moment du séisme, environ 700 ont déjà rejoint l'Hexagone. D'après les parents, les choses se sont soudainement débloquées avec l'arrivée au Quai d'Orsay de Michèle Alliot-Marie. "Il y a eu un changement évident, elle s'est engagée dès qu'elle a pris son poste, alors qu'il y avait une non-volonté de Bernard Kouchner depuis le départ" d'aider les parents, assène Nadia Boulkessof. Même son de cloche pour Mme Damilleville, Mme Alliot-Marie "l'a dit elle-même, elle a passé un coup de fil au Premier ministre haïtien, coup de fil qui n'avait jamais été passé pendant près d'un an", selon elle, par son prédécesseur. | |
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| Sujet: Alors que les tiblancs font leurs emplettes de chair fraiche à Haïti...ils ne veulent pas des adultes Jeu 30 Déc - 16:33 | |
| C'est-y pas beau ça ! On vole à leur culture et on déracine des tinenfants noirs pour des parents frustrés en quête de nounours
et on refoule les adultes ...beaucoup moins charmants
mais c'est de la pédophilie larvée ça Madame !Immigration. 75 Haïtiens sans visa interpellés Ils disent fuir la misère ou les violences politiques: au moins 75Haïtiens sont arrivés la semaine dernière, en deux vagues, jeudi et dimanche, à Orly et Roissy. Munis de simples visas de transit, ils ont été interpellés par la police aux frontières et placés en zone d'attente. «Le pays est bouleversé (...) La France, c'est le seul moyen de sauver ma vie», déclare Marie-Gerda, 24 ans, retenue depuis jeudi dans la zone d'attente d'Orly et dont le père réside en banlieue parisienne. Leur arrivée «n'est pas spontanée, il doit y avoir un organisateur», a assuré une source préfectorale. «Je suis persécutée» À Bobigny et à Créteil, un juge des libertés et de la détention(JLD) a ordonné lundi la remise en liberté de 31 d'entre eux principalement parce qu'ils ont de la famille en France et disposent, à ce titre, de «garanties de représentation suffisantes». À l'initiative du parquet de Créteil, quinze cas devraient être réexaminés aujourd'hui par la Cour d'appel de Paris. Le parquet de Bobigny, lui, n'a pas fait appel. La quarantaine d'autres Haïtiens, arrivés dimanche, devraient être présentés demain à un JLD. «Je suis persécutée» en Haïti, affirme au téléphone Erline, retenue aussi à Orly, qui évoque les troubles qui secouent l'île depuis le scrutin du 28novembre, également frappée depuis mi-octobre par une épidémie de choléra. Alors qu'il y a près d'un an, un séisme dévastait l'île, tuant 217.000 personnes, le Réseau éducation sans frontières estime que l'engagement, pris au lendemain de la tragédie, de faciliter le regroupement familial des Haïtiens en France n'a pas été respecté par le gouvernement. «C'est resté à l'état de belles paroles», déplore Richard Moyon, porte-parole de l'association. | |
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| Sujet: Trafic de bébés bulgares démantelé en Grèce Mer 26 Jan - 10:25 | |
| Trafic de bébés bulgares démantelé en Grèce OPÉRATION POLICIÈRE | Mardi, les polices bulgare et grecque ont mis à jour un réseau de trafic de bébés adoptés en Grèce. Les mères sont en partie issues de familles roms plongées dans la misère.
© KEYSTONE-A | Les autorités ont constaté 14 cas où des femmes enceintes, notamment d’origine Rom, vendaient leurs enfants, a déclaré le procureur.
AFP | 25.01.2011 | 14:29
Les polices bulgare et grecque ont démantelé mardi un trafic de bébés bulgares en Grèce, a annoncé le ministre de l’Intérieur Tsvetan Tsvetanov à Sofia.
Cinq personnes ont été arrêtées à Varna, dans l’est de la Bulgarie, et neuf en Grèce dans cette opération préparée depuis six mois par les autorités des deux pays, a-t-il précisé.
Le procureur régional de Varna, Vladimir Tchavdarov, cité par l’agence BTA, a indiqué que les arrestations avaient été effectuées dans la ville grecque de Lamia (sud-est), ainsi que dans trois villes de l’est de la Bulgarie - Varna, Bourgas et Yambol.
Les autorités ont constaté 14 cas où des femmes enceintes, notamment d’origine Rom, vendaient leurs enfants, a déclaré le procureur. La police grecque a découvert un nouveau-né offert à l’adoption illégale lors d’une perquisition dans un logement de Bulgares à Lamia, a-t-il ajouté.
De 18.000 à 25.000 euros
Les enfants étaient mis au monde dans un hôpital à Lamia pour être vendus dans cette même ville, ainsi qu’à Athènes, à Thessalonique (nord) et à Patra (sud-ouest).
"Le prix des bébés dépendait de leur sexe et de la couleur de leur peau", selon le procureur. Un garçon coûtait 25.000 euros aux parents adoptifs désirant contourner la procédure légale et une fille de 18.000 à 20.000 euros. Dans la plupart des cas les mères ne touchaient qu’une part minime de cette somme, a-t-il ajouté.
La Bulgarie a demandé l’extradition de six des personnes arrêtées en Grèce dont une avocate bulgare qui y travaillait, selon le procureur Tchavdarov. Des cas de trafic de bébés, issus de familles roms bulgares plongées dans la misère, sont régulièrement révélés en Grèce.
En octobre la police bulgare avait démantelé dans la région de Sliven (est) un autre réseau de trafic de nouveaux-nés vers la Grèce. Six femmes enceintes de la région avaient été conduites en Grèce pour y donner naissance à leur bébé. L’enfant était alors reconnu par un père fictif grec pour court-circuiter la procédure d’adoption internationale.
Par ailleurs onze cas de trafic de bébés roms de la région de Pechtera (sud de la Bulgarie) avaient été dévoilés en 2005 en France. | |
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| Sujet: La reconstruction de Haïti n'a toujours pas commencé Mer 18 Jan - 16:34 | |
| La reconstruction de Haïti n'a toujours pas commencé
Palais présidentiel en ruines, cathédrale et écoles dévastées, ainsi que d'innombrables logements : la destruction de Port-au-Prince est toujours aussi visible, signe que, deux ans après le séisme, la reconstruction d'Haïti n'a pas encore commencé.
Il faut se rendre dans le nord du pays, dans la petite de ville de Limonade, épargnée par la catastrophe, pour trouver le seul ouvrage public érigé après le tremblement de terre qui a tué plus de 200.000 personnes le 12 janvier 2010 : un campus universitaire offert clé en main par la République dominicaine voisine.
Trois plans de reconstruction du centre-ville de Port-au-Prince, dont l'un préparé par la Fondation du Prince Charles, attendent dans les tiroirs. « Nous allons faire une fusion des différentes propositions et proposer une version finale de la reconstruction du centre de la capitale », assure à l'AFP Arry Adam, chef de la nouvelle autorité chargée de la reconstruction.
Les crises à répétition caractéristiques du pays le plus pauvre des Amériques, des élections agitées et une longue transition gouvernementale n'ont pas facilité l'exécution des projets, au grand dam du demi-million de sinistrés qui s'entassent encore dans des campements « provisoires ». « Il faut une vraie politique pour faire avancer la reconstruction », plaide le maire de la capitale, Jean Yves Jason, qui perçoit plus de volonté du côté du nouveau président Michel Martelly, aux affaires depuis mai dernier, que dans l'équipe précédente de René Préval.
Le Premier ministre Garry Conille vient de décréter 2012 « année de la reconstruction », dans l'espoir de dégager les 5 millions de m3 de débris qui encombrent encore les rues de la capitale.
« Nous allons lancer la construction d'une vingtaine de bâtiments publics et de plus de 3.000 logements sociaux », a assuré le chef du gouvernement, faisant toutefois reposer la réalisation de ces projets sur « les ressources financières à trouver auprès de la communauté internationale et la capacité des Haïtiens à travailler ensemble ».
Des sinistrés dubitatifs
« Je vais vous retirer de sous ces tentes, vous allez retourner dans vos quartiers dans des conditions dignes. Ce que d'autres n'avaient pas pu faire en 20 mois, je vais le réaliser en trois mois », a promis le président Martelly, haranguant devant son palais en ruines une foule de plusieurs centaines de sans-abri. M. Martelly, qui a inauguré un projet de réhabilitation de plusieurs communes de l'agglomération, se réjouit d'avoir réussi à évacuer des espaces publics transformés en abris en offrant une prime de 500 dollars par famille pour louer une chambre.
Mais les premiers concernés ne croient plus guère aux promesses de la classe politique. « On est en Haïti, on fait toujours beaucoup de promesses, souvent sans lendemain », dit Erole Nelson, vendeur de CD contrefaits assis à quelques mètres du palais devant ce qui est sa demeure depuis le séisme.
Dans la communauté internationale, l'impatience est aussi de mise. « Les progrès de la reconstruction sont loin d'être satisfaisants. La reconstruction est ralentie par des questions administratives », déplore la parlementaire européenne Michèle Striffler, s'interrogeant sur l'efficacité de la commission intérimaire pour la reconstruction d'Haïti (CIRH) coprésidée par l'ancien président américain Bill Clinton.
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Messages : 9371 Date d'inscription : 25/04/2008
| Sujet: L'occident malade des enfants Sam 21 Jan - 5:24 | |
| Neuf personnes sont actuellement incarcérées dans l'affaire du trafic de bébés mexicains destinés à être adoptés en Irlande. De plus, certains petits présentent des signes d'abus sexuels.
Dix bébés âgés de 2 mois à 2 ans ont été récupérés à ce jour. Quatre d’entre eux présentent des signes de sévices sexuels. L’affaire du trafic de bébés mexicains destinés à être adoptés en Irlande prend de plus en plus d’ampleur : 9 personnes sont actuellement en prison, et une quinzaine d’Irlandais sont entendus par la police. Parmi les détenus, un chauffeur de taxi qui assurait le transport des enfants, et une jeune femme de 21 ans qui tentait de négocier deux bébés. Le réseau mexicain de trafiquants d’enfants plaçait des petites annonces dans la presse locale pour recruter des femmes enceintes. Ils leur versaient quelque 70 euros par semaine et leur assuraient des soins médicaux. On ne sait pas encore si les parents irlandais étaient au courant que leurs enfants adoptifs provenaient d’un réseau criminel, ni combien ils payaient pour ces adoptions. | |
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