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 Flamby et la diplomatie du cheeseburger

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MessageSujet: Flamby et la diplomatie du cheeseburger   Flamby et la diplomatie du cheeseburger Icon_minitimeLun 21 Mai - 14:51

Pour le premier déplacement aux Etats-Unis du nouveau président français, rien ne devait paraître difficile. Mots doux avec Obama, sourires à foison.

Ainsi le pseudosocialo"énergique" pratique la politique du lèche-cul initiée par le nabot ...afin de flatter le dirigeant le plus sanguinaire de la terre, lde la puissance la plus hégémonique et impérialiste, de la plus raciste ( cf. contrôles au facies)...et qui économiquement éponge depuis plus de 50 ans ses dettes avec la planche à billet

chapeau la nouvelle présidence ! silent






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MessageSujet: En bon lèche cul de l'impérialisme US Flamby ne s'oppose pas au bouclier de l'OTAN...des dépenses tout a fait inutiles sauf a vouloir exploiter les peuples   Flamby et la diplomatie du cheeseburger Icon_minitimeMar 22 Mai - 9:42

Otan : François Hollande ne s'est pas opposé au bouclier antimissile



Comme l'explique un bon connaisseur des sommets internationaux, "on ne peut y faire valoir qu'un seul sujet" et, pour François Hollande, ce sujet, au sommet de l'Otan de Chicago, c'était l'Afghanistan. Le bouclier antimissile est donc passé comme une lettre à la poste. Pourtant, lors de sa campagne, le candidat socialiste s'était déclaré "réservé", estimant que ce projet "méritait réflexion". "Mes réserves ont pu être levées" a-t-il indiqué dimanche.

La première des 4 étapes du programme lancé lors du sommet de Lisbonne de 2010, dite de "capacité interimaire" a donc été officiellement achevée. Les trois autres autres suivront leur cours jusqu'en 2020. Pour l'instant, il s'agit d'un radar (en Turquie), d'une frégate américaine équipée de missiles SM-3 et d'un centre de commandement à Ramstein (Allemagne)

Le président de la République a énoncé quatre principes "essentiels" : "La défense anti-missile ne peut pas être un substitut à la dissuasion mais un complément". Il faut un "contrôle politique de son utilisation". Les industriels français doivent être "directement intéressés à la réalisation des équipements nécessaires". Enfin, "il doit y avoir une maîtrise des coûts pour qu'il n'y ait pas de dérive financière qui serait d'ailleurs insupportable pour les budgets des pays de l'Alliance".

Ce projet de défense antimissile balistique (DAMB) vise à protéger le territoire européen d'attaques en provenance, notamment, de l'Iran. Il suscite une vive opposition de la Russie - et François Hollande a souhaité que les "pays qui sont proches (la Russie, ndlr) puissent être totalement rassurés".

La position exprimée par le président de la République n'est pas une surprise : elle correspond à la position française telle qu'elle exprimée depuis plusieurs mois - lire notre post de février dernier. Il s'agit en fait d'une expression permettant de trouver un équilibre entre des positions contradictoires en France même : d'un côté, les industriels (MBDA, Astrium, Thalès...) veulent absolument participer à ce programme d'autant qu'ils craignent une réduction des budgets d'investissements nationaux, de l'autre les militaires tordent le nez car ils estiment que ce projet essentiellement américain coutera cher et que les priorités ne sont pas là., alors que es partisans de la dissuasion nucléaire y voit l'amorce d'un abandon des principes sacro-saints.
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MessageSujet: Le pipo continue : Des militaires français resteront en Afghanistan après 2012   Flamby et la diplomatie du cheeseburger Icon_minitimeJeu 24 Mai - 19:22

Des militaires français resteront en Afghanistan après 2012


Opex360
lun., 21 mai 2012 10:36 CDT

Par rapport à sa promesse faite lors de la campagne électorale qui l'a mené à l'Elysée, le président Hollande a manifestement mis de l'eau dans son vin. Ainsi, le 20 avril dernier, à l'antenne d'Europe1, il avait réaffirmé que « l'objectif (était) de se retirer complétement et définitivement » de l'Afghanistan avant fin 2012 en répondant à une question posée à ce sujet. « La coopération ne sera pas militaire » avait-il encore précisé.

Une semaine plus tôt, à l'émission de France2 intitulée « Des paroles et des actes », le président Hollande avait aussi déclaré que « le désengagement devait se produire au lendemain de l'élection présidentielle » pour être terminé « à la fin de l'année 2012″, soit un an avant le terme fixé pour les troupes de combat par son prédécesseur, Nicolas Sarkozy. « Il n'y aura pas, là encore, de changement de ma position (...) il n'y aura pas de surprise, ce que j'ai dit, je le ferai, je le dirai au sommet de l'Otan qui se réunira à la fin du mois de mai, c'est à dire toute suite après l'élection présidentielle » avait-il insisté.

Justement, à ce somment de l'Otan, qui a commencé le 20 mai à Chicago, le président Hollande a fait valoir sa position en parlant « d'acte de souveraineté ». Ainsi, « les troupes combattantes seront retirées d'Afghanistan d'ici la fin de l'année » a-t-il confirmé. Sauf que, « en 2013 demeureront uniquement des formateurs pour les forces de police et pour les cadres de l'armée afghane et ça se fera dans le cadre de l'opération elle-même de l'Isaf. Sur ces principes-là nous avons pu trouver un accord commun » a-t-il admis.

« Nous avons veillé à ce que la position de la France soit pleinement respectée et appliquée et, en même temps, j'ai veillé à ce que nos alliés comprennent bien le sens de cette opération. Je l'ai montré en faisant en sorte qu'il puisse y avoir des actions qui demeurent dans le cadre de l'Isaf », a répété le chef de l'Etat lors d'une conférence de presse.

Outre ces militaires pour former les cadres de l'armée nationale afghane - ce qui laisse supposer que la mission Epidote continuera, de même que celle des intructeurs des équipes de liaison et de tutorat opérationnel -, il est également acquis que ceux du Bataillon Logistique (BatLog) de Kaboul resteront en Afghanistan le temps de rapatrier les véhicules, les hélicoptères et les équipements, ce qui n'est pas une mince affaire, d'autant plus que les délais sont courts et que les risques de « TIC » (Troops in Contact, c'est à dire les accrochages) ne sont pas à minimiser, loin de là, comme l'a d'ailleurs montre la récente opération Condor Circle. D'où la nécessité de relativiser le terme « troupes combattantes », l'US Army parlant même de « convoi logistique de combat« ...

Restera donc à voir comment tout cela va s'organiser, sachant qu'en février dernier, il avait été annoncé qu'entre 400 et 500 instructeurs français resteraient en Afghanistan après l'arrêt des opérations de combat, alors prévues pour la fin 2013. Des réunions d'état-major vont se tenir dans les prochains jours pour appliquer la décision du président Hollande, laquelle ne devrait pas, selon le général Allen, le commandant de l'ISAF, entraîner une « dégradation de la sécurité » dans la province de Kapisa, appelée à être prochainement transférée à l'armée nationale afghane (ANA).

En fait, la France adopte la même position prise, avant elle, par les Pays-Bas et le Canada. Ces deux pays ont mis un terme à la mission de combat de leur contingent en 2010 tout en restant engagés en Afghanistan via la formation et le tutorat de l'ANA

Quoi qu'il en soit, la décision de Paris n'aura pas entraîné de « ruée vers la sortie ». « Nous allons rester engagés dans notre opération en Afghanistan afin de la mener à bien » a déclaré Anders Fogh Rasmussen, le secrétaire général de l'Otan. « Nous sommes allés en Afghanistan ensemble, nous comptons en partir ensemble » a affirmé Angela Merkel, la chancelière allemande.

Cela étant, il est prévu que la mission de l'Otan en Afghanistan évolue à partir de la mi-2013. A cette date, la responsabilité des opérations dans le pays sera entièrement transférée aux forces de sécurité afghanes, la coalition passant à un rôle de soutien et d'appui d'ici la fin 2014.

Pour le président américain, Barack Obama, « le monde est derrière la stratégie que nous avons développée ». « Maintenant, nous devons la mettre en oeuvre de façon efficace et je pense que cela est réalisable grâce à l'immense résilience du peuple afghan qui aspire désespérément à la paix et à la sécurité » a-t-il ajouté, peu avant l'ouverture du sommet de l'Otan. Cependant, il « restre beaucoup de travail à accomplir » a-t-il nuancé, en prévenant qu'il y aura encore des pertes humaines. « Il y aura des jours difficiles, mais nous sommes confiants dans le fait que nous sommes sur le bon chemin » a-t-il ajouté.
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MessageSujet: Echec cuisant de Flamby...les bisous c'est pas suffisant !   Flamby et la diplomatie du cheeseburger Icon_minitimeSam 23 Juin - 14:36

Pas de taxe sur les transactions financières à l'échelle de l'UE

22 juin 2012 à 20:38



L’UE ne mettra pas en oeuvre une taxe sur les transactions financières à l'échelle des 27, qui ont constaté vendredi à Luxembourg leur désaccord à ce sujet, ouvrant la voie à une initiative d’un plus petit nombre d’entre eux, dont l’Allemagne et la France.

«La taxe sur les transactions financières proposée par la Commission n’obtient pas le soutien unanime des Etats», a constaté la ministre danoise des Finances, Margrethe Vestager, qui présidait la réunion.

«J’ai constaté qu’un nombre important de pays avaient exprimé leur soutien à une coopération renforcée sur ce sujet», a-t-elle ajouté.

Une coopération renforcée requiert la participation d’au moins neuf pays de l’UE. Seuls six ont exprimé sans ambiguïté vendredi leur intention d’aller de l’avant: l’Allemagne et la France, les principaux promoteurs d’une telle initiative, mais aussi l’Autriche, la Belgique, le Portugal et la Slovénie.

D’autres, comme l’Espagne, la Grèce, la Slovaquie et l’Estonie, se sont dits «ouverts» à cette possibilité. Certains pays ont indiqué qu’ils ne souhaitaient pas y participer, comme le Royaume-Uni, les Pays-Bas et l’Irlande.

A Rome, les dirigeants italien, français, allemand et espagnol se sont mis d’accord vendredi sur l’adoption d’une taxe sur les transactions financières, selon François Hollande et Angela Merkel. «Je ferai en sorte, avec mes partenaires, que le Conseil européen nous autorise à faire cette coopération renforcée» afin de la «mettre en place le plus rapidement possible», a déclaré le président français à l’issue du mini-sommet entre les quatre pays.

Pour se décider, les pays encore hésitants «doivent savoir de quelle sorte de taxe sur les transactions financières il va s’agir», notamment si c’est la proposition de la Commission européenne qui est retenue ou une autre forme de taxe, éventuellement plus limitée dans son application, a relevé un diplomate.

Le projet de la Commission prévoyait l’instauration d’une taxe sur les transactions financières au taux de 0,1% pour les actions et les obligations et de 0,01% sur les autres produits financiers, qui aurait généré jusqu'à 57 milliards d’euros à l'échelle de l’UE.

Le constat de l’impossibilité pour l’ensemble des 27 de parvenir à un consensus est la première étape juridique permettant de passer ensuite à un processus de coopération renforcée.

L'étape suivante doit prendre la forme d’une lettre adressée à la Commission européenne par les neuf Etats ou plus désirant y participer. La Commission doit ensuite vérifier si les conditions sont respectées. Puis les 27 doivent voter à la majorité qualifiée pour l’autoriser.

«La taxe sur les transactions financières a reçu de nombreux coups de canif aujourd’hui et elle saigne abondamment», a ironisé un diplomate européen.

L’ONG Oxfam, qui y est favorable, a exhorté les pays partisans à aller de l’avant. Selon ses projections, une TTF uniquement appliquée à des pays représentant 90% du PIB de la zone euro pourrait dégager 40 milliards d’euros par an.

Pour l’ONG, M. Hollande doit «rappeler que la taxe sur les transactions financière doit contribuer avant tout à la lutte contre la pauvreté et le changement climatique» à l’occasion du prochain sommet européen des 28 et 29 juin.

Mais la question de l’affectation des recettes ne fait pas consensus pour l’instant. Elle pourrait par exemple aller aux budgets nationaux. La réticence de certains pays européens à participer au projet vient aussi du fait qu’on «a l’impression que cette taxe est plus une fin en soi qu’un moyen», a souligné vendredi un diplomate à Luxembourg.
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MessageSujet: Flamby pédale dans la gomina..;pas bisous ???   Flamby et la diplomatie du cheeseburger Icon_minitimeSam 23 Juin - 14:38

Tandis qu’à Rome, vendredi, Merkel et Monti poussaient pour plus de fédéralisme, Hollande a répété que cette union politique était conditionnée à plus de solidarité financière.

Par ÉRIC JOZSEF (à Rome) et JEAN QUATREMER (à Bruxelles)
Le commandant Allan, homme lige de l’ignoble Rastapopoulos, lance au capitaine Haddock, dans Coke en stock : «Dors-tu avec la barbe en dessous ou au-dessus des couvertures ?» Le résultat recherché est atteint : le capitaine n’arrive pas à fermer l’œil de la nuit, hanté par cette grave question… La zone euro est confrontée à un dilemme de même nature : le fédéralisme, c’est avant ou après la solidarité financière ? Et de la même façon qu’Haddock, elle ne parvient pas à trancher, comme l’a montré le mini-sommet de Rome qui a eu lieu vendredi après-midi entre les dirigeants allemand, français, italien et espagnol. Le visage fermé, face à la presse, Angela Merkel, Mario Monti, Mariano Rajoy et François Hollande n’ont pu que constater leur désaccord sur ce point fondamental pour l’avenir de l’euro. Pour Berlin, la solidarité, style euro-obligations ou garantie européenne des dépôts bancaires, viendra couronner l’union politique, alors que pour ses partenaires, la fédéralisation sera la conséquence de transferts financiers accrus…

Tempo. Il reste une semaine avant le Conseil européen de Bruxelles des 28 et 29 juin pour parvenir à un compromis. Chacun reconnaît volontiers que «ce qui a été fait jusqu’à présent n’a pas été suffisant», pour reprendre la formule du président du Conseil italien. L’aggravation continue de la crise interdisant tout déni de réalité : «Pour sortir dans de bonnes conditions de cette crise de la zone euro et de l’économie européenne, davantage d’intégration est nécessaire.» Un diagnostic partagé par la chancelière allemande : «Il ne faut pas moins d’Europe, mais plus d’Europe.» Pour Angela Merkel, il est primordial de «donner un signal que nous allons vers une union politique» afin d’assurer aux marchés que l’euro est irréversible.

C’est sur le tempo que les désaccords sont profonds entre les deux rives du Rhin - Rome et Madrid se tenant à l’écart de la querelle. Pour François Hollande, «il ne peut y avoir de transferts de souveraineté s’il n’y a pas d’amélioration de la solidarité [financière]». Dans son «pacte de croissance», transmis jeudi à ses partenaires, il a ainsi proposé une «feuille de route» sur dix ans afin de «renforcer» l’union monétaire et permettre, notamment, la mutualisation des dettes souveraines. Mais sans attendre, il veut que la zone euro créée une union bancaire (supervision européenne des banques et assurances, fonds de résolution des crises bancaires, garantie commune des dépôts bancaires), lance des eurobills (emprunts communs à court terme) et mutualise la partie des dettes souveraines qui dépasse les 60% du PIB («fonds de rédemption»). «Nous nous sommes retrouvés sur une vision commune de l’Union économique et monétaire avec une feuille de route. A chaque étape, il faudra instaurer de nouveaux instruments», a assuré le président français.

Une vision optimiste, puisque, pour Berlin, il n’est pas question d’attendre dix ans pour mutualiser les souverainetés économiques et budgétaires et démocratiser l’UE : «En même temps que la solidarité, vous avez besoin de contrôles», estime la chancelière, pour qui il faut préalablement «créer une structure politique pour avoir plus de contrôle et de responsabilité». Autrement dit, pas question de donner le code de la carte de crédit allemande sans contrôle des dépenses de chacun. «En Europe, il y a toujours beaucoup d’enthousiasme à mutualiser les fardeaux, mais beaucoup de réserves quand il s’agit de céder de la souveraineté à l’échelle européenne», ironisait-on dans l’entourage de Merkel.

Ressource nouvelle. Sur le volet croissance, en revanche, l’accord a été total : François Hollande s’est réjoui que les Quatre aient décidé de mobiliser «1% du PIB européen, c’est-à-dire 120 à 130 milliards d’euros, en faveur de la croissance», ce qui représente une année de budget européen. Cette somme sera atteinte en utilisant les aides régionales en déshérence (55 milliards d’euros), en lançant des project bonds destinés à financer de grands chantier d’infrastructures (la phase pilote portera sur 4,5 milliards d’euros) ou encore en augmentant des moyens de la Banque européenne d’investissement (une capacité supplémentaire de prêts de 60 milliards d’euros). De même, la taxe sur les transactions financières, destinée à créer une ressource nouvelle, verra bien le jour, mais pas à Vingt-Sept - la Grande-Bretagne ne voulant en entendre parler. Il faut rendre à César ce qui appartient à César : ce plan a été élaboré par la Commission européenne, François Hollande l’ayant simplement repris à son compte… La chancelière a reconnu que «le message important aujourd’hui, c’est que la croissance et des finances solides sont les deux côtés de la même médaille. Des finances solides est un prérequis, mais ce n’est pas suffisant si vous ne créez pas aussi de la croissance et des emplois».
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MessageSujet: Capitulation devant Merkel ...malgré les bisous ! ...plein de bisous !   Flamby et la diplomatie du cheeseburger Icon_minitimeDim 24 Juin - 15:07

Le leader du Front de gauche Jean-Luc Mélenchon a estimé aujourd'hui que François Hollande et son gouvernement avaient "capitulé" face à la chancelière allemande Angela Merkel sur le traité européen de discipline budgétaire. Ils "viennent de capituler, d'accepter la règle de Mme Merkel qui en plus se fiche d'eux", a déclaré Mélenchon lors de l'émission "Le grand rendez-vous Europe I-TELE/Le Parisien-Aujourd'hui en France".

L'ex-candidat à la présidentielle en veut pour preuve le fait que le Parlement allemand s'apprête à adopter le traité de discipline budgétaire le 29 juin, au moment même où se tient le sommet européen de Bruxelles (28, 29 juin). Lors de ce sommet, "on aurait dû poser sur la table la nécessité de renégocier le traité, eh bien c'est ce jour-là que Mme Merkel décide de faire passer au Bundestag, avec l'appui des socialistes allemands, le traité (de discipline budgétaire) tel qu'il
est", a-t-il relevé.

Selon lui, il y a "victoire par KO du gouvernement allemand CDU-CSU contre le gouvernement socialiste français" et François Hollande "est en train de se faire avoir mais avec son consentement".

"Il est persuadé qu'on peut s'arranger comme il le faisait à la tête du PS" alors que "là, il s'agit des intérêts des puissances économiques, il s'agit de rapports de force entre les nations" a encore déclaré Mélenchon estimant que face à l'Allemagne, "il faudrait peut-être arrêter de raser les murs".

Le leader du Front de gauche a aussi qualifié de "mystification", l'accord vendredi à Rome entre la France, l'Allemagne, l'Espagne et l'Italie pour le déblocage de 120 à 130 milliards de fond européen en faveur de la croissance, et l'adoption restreinte de la taxe sur les transactions financières.
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MessageSujet: La capitulation du capitaine de pédalo   Flamby et la diplomatie du cheeseburger Icon_minitimeLun 25 Juin - 8:01

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MessageSujet: On chasse le rom et on accueille les dictateurs...c'est beau le socialisme-bobo de Flamby   Flamby et la diplomatie du cheeseburger Icon_minitimeDim 12 Aoû - 4:16

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France-Bahreïn : quand François Hollande reçoit un dictateur
Le Point.fr - Publié le 06/08/2012 à 12:13 - Modifié le 06/08/2012 à 14:05
Le président de la République a accueilli en catimini le roi Hamed de Bahreïn, dont le régime étouffe dans le sang la révolte de sa population.


La présidence de la République n'a pas prévenu la presse française de la visite à Paris du roi Hamed de Bahreïn. © Capture d'ecran / Bahrain News Agency (http://www.bna.bh)



Commentaires (194)


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Par Marine de Tilly
Le colonel Kadhafi, Bachar el-Assad..., le perron de l'Élysée croyait la page des dictateurs arabes invités en France tournée. Deux mois après son accession à la tête de l'État, François Hollande semble pourtant perpétuer la tradition présidentielle, en secret. C'est en catimini que le "président normal" a reçu le 23 juillet dernier le roi de Bahreïn, Hamed ben Issa Al Khalifa, à la tête d'une dynastie sunnite au pouvoir depuis deux cents ans. En effet, aucune mention sur l'agenda élyséen, aucune alerte à la presse ne sont venues annoncer cette visite de premier plan. "Cette rencontre était à l'évidence une réception officielle", signale au Point.fr Jean-Paul Burdy*, professeur d'histoire à l'Institut d'études politiques de Grenoble, qui relate l'affaire sur son site. Ce spécialiste de Bahreïn en veut pour preuve le fait que le roi a été accueilli à l'aéroport par la garde républicaine française.

Pourquoi un tel silence ? Il faut dire que Bahreïn n'est pas n'importe quel pays. Cela fait un an et demi que le royaume réprime dans le sang la révolte chiite : la communauté majoritaire de ce minuscule État de 1 230 000 habitants (dont 550 000 nationaux) exige du pouvoir sunnite des élections libres et la fin des discriminations à son égard. Selon Amnesty International, au moins 60 personnes ont été tuées depuis mars 2011, après que l'Arabie saoudite a dépêché sur place un millier de ses soldats pour réfréner toute velléité révolutionnaire.

Un tweet donne l'alerte

Ironie du sort, c'est justement par un tweet (relayé par le Figaro.fr) qu'une journaliste politique de l'Agence France-Presse, accréditée à l'Élysée, s'est chargée de donner l'alerte, le 23 juillet à 11 heures du matin. Évoquant une "visite-surprise", en tout cas "pour les journalistes AFP", elle joint à son texte une photo montrant François Hollande aux côtés du roi Hamed ben Issa Al Khalifa, sur le perron de l'Élysée. Quelques heures plus tard, la présidence de la République explique que l'entretien a porté sur la situation en Syrie ainsi que sur "le risque de prolifération des armes de destruction massive". Autrement dit sur le dossier nucléaire de l'Iran, pays que Manama accuse de fomenter les troubles à Bahreïn.

Le lendemain, c'est Laurent Fabius qui reçoit son homologue bahreïni Khalid ben Ahmed al-Khalifah. Celui-ci annonce que la France va aider Bahreïn à mettre en oeuvre des réformes judiciaires ainsi que des mesures en faveur de la liberté de la presse et des droits de l'homme, rapporte l'AFP. De son côté, le Quai d'Orsay indique que le chef de la diplomatie française a "encouragé les autorités bahreïnies à poursuivre leurs efforts pour permettre un apaisement durable des tensions que connaît le royaume".

Des tensions qui, pourtant, restent extrêmement vives. Durant tout le mois de juillet, les forces de sécurité ont arrêté plus de 240 personnes alors qu'une centaine d'autres ont été blessées dans des heurts avec la police, selon le principal groupe de l'opposition chiite, Al-Wefaq. Deux semaines avant la visite du roi en France, l'opposant emblématique Nabeel Rajab a été condamné à 3 mois d'emprisonnement pour avoir critiqué dans un tweet le Premier ministre bahreïni, et oncle du roi, Cheikh Khalifa. "Des manifestations ont lieu en permanence dans les quartiers chiites périphériques de Manama", indique pour sa part Jean-Paul Burdy, selon qui "le régime n'est pas menacé, mais la situation pas normalisée non plus". Le 1er août, l'ONG des Médecins pour les droits de l'homme (PHR) a ainsi condamné l'utilisation par le gouvernement bahreïni de grenades lacrymogènes dans un but létal. Dans un rapport, le directeur adjoint de PHR affirme que des tirs de grenades lacrymogènes visent "directement des civils dans leur voiture, dans leur maison, ou dans d'autres espaces fermés où les effets toxiques sont exacerbés".

Coopération sécuritaire ?

S'il demeure la principale cible des manifestants de la Perle (place centrale de Manama, NDLR), le roi Hamed, au pouvoir depuis dix ans, s'inscrit-il pour autant dans la lignée des Muammar Kadhafi et autres Bachar el-Assad ? "Absolument pas", insiste Jean-Paul Burdy. "La répression est bien moins sanglante à Bahreïn et le roi n'en est sans doute pas l'acteur principal." Conscient de l'impasse politique que traverse son pays, Hamed ben Issa Al Khalifa a bien tenté d'accorder des concessions à l'opposition. Il a notamment mis sur pied en juin 2011 une commission d'enquête internationale indépendante sur les incidents qui ont frappé le pays trois mois plus tôt. Le rapport qui en a découlé dénonce un "usage excessif et injustifié de la force" du régime.

Problème : l'appareil sécuritaire reste entre les mains du puissant Premier ministre Cheikh Khalifa, véritable chef de l'État depuis près de cinquante ans. "Ce qui est certain, c'est que le roi Hamed est aujourd'hui le dirigeant d'un régime répressif", souligne le spécialiste du royaume. Voilà qui expliquerait pourquoi l'Élysée s'est contenté d'un "service minimum" pour la venue du souverain. Pas de journalistes, pour ne pas s'attiser de foudre médiatique, mais aussi pour ne pas accorder au royaume une vitrine internationale, ce dont il a aujourd'hui grand besoin pour sa propagande intérieure. Si le "silence radio" français s'est révélé efficace, il a été trahi par la presse bahreïnie, qui a surexploité à l'excès la visite royale en capitale occidentale.

Le "message" de la France

Surtout, l'agence de presse officielle BNA a apporté ses propres précisions sur la future coopération entre les deux pays. À l'en croire, les opposants bahreïnis ont de quoi s'inquiéter : outre la presse, la collaboration concernerait "les domaines politique, de la défense, de l'éducation, de la culture et de la technologie". Une perspective qui a suscité l'inquiétude de six associations de défense des droits de l'homme, dont Amnesty International, la Fédération internationale des droits de l'homme et Human Rights Watch. Dans une lettre commune rendue publique le 2 août, les ONG appellent François Hollande à "indiquer clairement que la France déplore l'échec de Bahreïn dans la mise en oeuvre des recommandations les plus importantes de la commission d'enquête indépendante de Bahreïn, à savoir la libération des personnes emprisonnées pour l'unique exercice de leurs droits à la liberté d'expression et de rassemblement pacifique".

Contactée par le Point.fr, une source proche du dossier affirme que les deux pays ont simplement discuté de la possibilité de créer une haute autorité s'intéressant à l'ensemble des relations entre les deux pays. "C'est seulement lorsque le comité sera mis en place que les domaines de coopération seront formalisés", ajoute-t-elle. Interrogée sur le bien-fondé d'un tel rapprochement, étant donné la répression en cours à Bahreïn, la source précise que ce genre de collaboration est un moyen pour Paris de faire passer à Manama le "message selon lequel la France soutient le processus des réformes entreprises dans le pays".
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