Les mères tombent dans un véritable piège quand elles dénoncent des abus sexuels sur leurs enfants
15 novembre 2012 Par Dominique Ferrières
Avec le Syndrome d'Aliénation Parentale (SAP), lorsque les mères dénoncent des cas de pédophilie intra-familiale, elles tombent dans un véritable piège
(Voir sur ce même thème mon billet sur l'association "Mères en lutte" de Leo Thiers-Vidal qui décrit avec une grande clarté cette mécanique qui détruit mères et enfants :
http://blogs.mediapart.fr/blog/dominique-ferrieres/151112/lassociation-meres-en-lutte-creee-par-leo-thiers-vidal)Selon la théorie pro-pédophile du Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP), dans les cas de séparation, 90 à 98% des dénonciations d’actes de pédophilie intra-familiale seraient de fausses allégations d’un parent (en général, la mère) avec mise sous emprise de(s) enfant(s) pour le(s) couper de l’abuseur (en général, le père).
Pourtant, selon un grand nombre de spécialistes, 95% à 98% des dénonciations d’actes de pédophilies intra-familiale sont des cas bien réels.
Seul un grand pervers peut éventuellement être dans un SAP
Pour beaucoup de spécialistes, le SAP n’existe pas. Il a toujours été refusé par la communauté scientifique. Pour d’autres, il existerait très peu de cas réels d’aliénation parentale qui seraient tous l’œuvre de pervers narcissiques abuseurs.
En effet, il faut une immense perversion pour maintenir de fausses allégations et maintenir une telle emprise sur un enfant (un éventuel vrai SAP) :
inventer de telles histoires (pédophilie, maltraitance), mentir et ne pas changer de version,
manipuler l’enfant pour qu’il ait peur et raconte les mêmes histoires,
tenir face aux différents interlocuteurs (assistants sociaux, psy, juges, avocats, policiers, etc.) pendant toute la durée des démarches et des procédures,
etc.
Seuls de grands pervers (comme les pédophiles, les psychopathes, etc.) sont capables de faire cela, car ils sont passés maîtres dans l’art de la manipulation et de l’abus d’autrui.
Un concept pervers pour donner des enfants aux pervers sexuels
Mais la perversion n’appartient pas qu’aux rares personnes capables d’être porteuses de ce syndrome. Le Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP) est en lui-même un concept pervers créé de toutes pièces pour donner des enfants à des pervers sexuels.
Rappelons que Richard Gardner, l’auteur de cette théorie du SAP était lui-même un pro-pédophile notoire, donc un pervers. Et propager/utiliser une théorie pro-pédophile ne peut être que l’œuvre de pervers.
Le Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP) décrit des mécanismes de la perversion narcissique
Le Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP) ne fait que décrire un ensemble de mécanismes de la perversion narcissique (la personnalité narcissique du DSM4).
D’ailleurs, le SAP a toujours été rejeté par la communauté scientifique internationale, notamment aux Etats-Unis. Il n’a donc jamais réussi à entrer dans le DSM (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux aux Etats-Unis[1]), malgré les tentatives répétées et massives (envoi d’un grand nombre de courriers) des adeptes du SAP.
Malgré cela, Van Gijseghem, le chantre du SAP, a réussi à propager toujours plus cette théorie dans les milieux sociaux, paramédicaux et médicaux d’un grand nombre de pays.
Comme le SAP n’a jamais été reconnu par la psychiatrie, les adeptes du SAP prétendent qu’il s’agirait d’une « psychologie judiciaire ». Comment prétendre qu’une psychologie pourrait être judiciaire ? La psychologie n’a rien à voir avec du judiciaire.
Le Dr Mazzeo, grand opposant au SAP dit à ce propos: "Un trouble mental peut être traité avec des médicaments ou une psychothérapie, ou les deux, ou ne nécessiter aucun traitement. Un décret de la cour peut-il guérir une maladie? Jamais entendu parler de quelque chose comme ça.". Se référer à mon billet :
http://blogs.mediapart.fr/blog/dominique-ferrieres/111112/la-therapie-de-la-menace-de-richard-gardner-createur-du-sapLe langage pervers de Van Gijseghem
Le chantre actuel du SAP utilise lui-même en permanence un langage pervers, caractérisé par la confusion et les retournements de situation.
« Catherine Marneffe, médecin pédopsychiatre, thérapeute d’enfants et de la famille, fondatrice et ex-directrice du centre SOS-Enfants de la Vrije Universiteit de Bruxelles, précise :
Le professeur Van Gijseghem est en permanence dans la confusion entre l’aveu et le dévoilement de l’abus, l’aveu étant un terme qu’on attribue habituellement aux coupables, donc plutôt aux abuseurs. »[2]
Dans cet exemple de langage, la victime devient le coupable[3] puisque selon Van Gijseghem, le dévoilement d’un abus serait un aveu.
L’emprise du pédophile
Concernant l’emprise décrite dans le Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP), seuls les pervers sont capables d'imaginer, de croire et de décrire d’une façon aussi précise une telle emprise sur un autre être humain.
Une personne non perverse ne pourra jamais imaginer une aussi grande perversion. Cela ne fait pas partie de son mode de fonctionnement.
Cette emprise totale sur l'autre est exactement ce que font les pervers sexuels prédateurs d’enfants : les pédophiles. Le créateur du SAP, le Dr. Richard Garder, le savait parfaitement puisqu’il était lui-même un pro-pédophile.
La perversion narcissique du pédophile
La perversion est aujourd’hui couramment nommée perversion narcissique. Elle s’échelonne de la violence psychologique, à la violence physique pour aboutir aux abus sexuels.
Voir sur ce thème l’excellent ouvrage « La haine de l'amour: la perversion du lien » de Maurice Hurni et Giovanna Stoll[4]. La mécanique perverse narcissique y est très bien décrite, partant de l’abus psychologique passant par l’abus physique pour arriver à l’abus sexuel (pédophilie, inceste, viol, etc.).
Un pervers manipule en permanence, dans la grande majorité des cas sans aucune conscience. C’est pourquoi, seuls les pervers peuvent penser que 90 à 98 % des personnes fonctionnent ainsi.
Il s'agit ni plus ni moins d'une projection, le mécanisme de base de la paranoïa, la pathologie mentale la plus sévère. Grâce à ce mécanisme de projection, le paranoïaque se débarrasse sur autrui de ses mauvais objets, soit des parties de lui-même dont il ne veut pas et donc il n’a pas conscience.
Il y a toujours une forte composante paranoïaque dans la perversion narcissique (projections, système défensif, pas d’affects, etc.). Pour le pervers narcissique, le fait de projeter sur autrui sa manipulation (son mauvais objet) lui permet de préserver son image de « gentil », se dévouant pour tout le monde et incapable de méchanceté.
Pourtant, pour le pervers narcissique, l’autre n’est qu’un objet qu’il utilise pour sa propre satisfaction. Il n’a ni affects, ni sentiment de culpabilité, car il est en permanence dans un système défensif (paranoïa), fermement verrouillé. Ainsi, dans ces formes les plus sévères, la perversion narcissique peut-elle aller jusqu’à la psychopathie.
Le profil type du pédophile (pervers narcissique)
Ce sont des hommes[5] en apparence merveilleux, des pères exemplaires que l’on a envie d’aider, voire de sauver. On leur donnerait « Le Bon Dieu sans confession ».
La phrase type que l’on entend dans ces cas-là, c’est :
« Jamais je n’aurais imaginé qu’il puisse faire cela. ».
On reconnaît immédiatement une mère perverse narcissique. Elle est dans la séduction et/ou dans le stéréotype de la mère parfaite. Les intervenants sont sous son charme, immédiatement convaincus et lui donnent tout ce qu’elle demande.
Elle n'est pas confuse, perdue, angoissée, agressive à force d’être maltraitée comme le sont les mères qui viennent dénoncer de réels actes pédophiles et qui sont déjà épuisées d’avoir subi au quotidien la violence d’un pervers.
Seuls des psychologues ou psychothérapeutes très entraînés à la perversion narcissique peuvent détecter ces pathologies de perversion narcissique.
En effet, il faut une grande expérience dans ce domaine pour ne pas se laisser manipuler par un pervers narcissique.
Le chemin de croix des mères qui osent dénoncer
De nombreuses études le prouvent, la plupart des actes de pédophilie intra-familiale ne sont jamais dénoncés [6]. Dénoncer un tel acte est un tel chemin de croix que beaucoup de femmes y renoncent.
Alors comment ose-t-on affirmer que 90 à 98% des dénonciations des rares mères qui osent dénoncer sont de fausses allégations ? Surtout lorsque l'on sait que 1 enfant sur 5 est abusé sexuellement, en très grande majorité par des proches (chiffres du Conseil de l'Europe).
La perversion du SAP : toute dénonciation se retourne contre la personne qui ose dénoncer
La loi oblige tout citoyen ayant connaissance d’un acte de pédophilie de le dénoncer. Par exemple, si une mère ne dénonce pas un acte de pédophilie intra-familiale, elle est condamnable.
Pourtant, lorsqu’une mère dénonce un acte de pédophilie intra-familiale aux services de protection de l’enfance, elle est aussitôt considérée comme folle et dangereuse. Et si elle insiste pour demander une protection pour son enfant (par exemple, des visites encadrées), elle risque que son enfant lui soit enlevé et donné au père présumé pédophile. Et même s’il n’obtient pas la garde, l’agresseur présumé obtiendra presque toujours un droit de visite et d’hébergement maximum.
Il faut savoir que les mères sont les principales cibles de cette théorie pro-pédophile du Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP), car ce sont elles qui, par leur proximité d’avec les enfants, découvrent en premier les signes d’abus sexuels. Pour cette raison, Richard Gardner, le pro-pédophile créateur de cette théorie, haïssait les mères.
Aujourd’hui, grâce à son chantre Van Gijseghem, tous les services de protection de l’enfance utilisent le SAP. Ainsi, pour eux, une mère qui dénonce des abus sexuels sur son enfant est systématiquement coupable. Et le père présumé pédophile est une victime.
Mais toute personne (mère, père, membre de la famille, enseignant, éducateur de la petite enfance, etc.) dénonçant de la maltraitance sur des enfants, et surtout des actes pédophiles, sera confrontée au même système pro-pédophile qui va étouffer systématiquement les dénonciations ou pratiquer l’intimidation pour qu’elles soient abandonnées.
Les mères subissent de plein fouet ce système d’intimidation puisque si elles osent dénoncer le père[7] de leur enfant pour maltraitance, dont des actes pédophiles, elles risquent de perdre leur enfant et de le voir donné au père agresseur, ou encore placé dans une famille d’accueil ou une institution. Dans plusieurs pays comme les USA, la France, etc. les mères finissent aussi en prison si elles refusent de présenter l’enfant au père agresseur.
D'ailleurs, dès les premiers mots de la dénonciation et tout au long de la procédure, jour après jour, intervenant après intervenant, les mères entendront toujours la même phrase : "Attention, ça va se retourner contre vous !"
Pour le père pédophile présumé, grâce au SAP, la situation est toute autre : tout le système de protection de l’enfance lui déroule un magnifique tapis rouge. L’agresseur présumé est la victime qu’il faut aider à tout prix quitte à menacer la mère, mentir, transgresser le cadre, passer par des vices de procédure, refuser ou détruire les preuves, violer le secret médical, etc.
Au bout du compte, avec ces manœuvres de tout un système totalement pervers (assistants sociaux, experts, avocats, juges, etc.), le père agresseur obtiendra très facilement la garde de l’enfant qui sera alors brutalement enlevé à sa mère qui veut le protéger. En plus de cela, la mère devra payer une pension à l’agresseur de son enfant. Si le père agresseur n’obtient pas la garde de l’enfant, il obtiendra d’office un droit de visite et d’hébergement maximum, malgré les demandes répétées de la mère pour obtenir des visites encadrées.
L’omerta : personne ne doit parler
Tous les professionnels sont au courant de ce système, mais personne n’en parle ouvertement. Il s’agit d’une véritable omerta basée sur des conflits d’intérêts et la peur des représailles [8].
Ainsi, aujourd’hui, la plupart des dénonciations de pédophilie intra-familiale sont-elles simplement étouffées ou abandonnées. On ne donne pas suite.
Le système du Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP) est bien verrouillé et d’une immense perversité : quoi que dise une personne qui dénonce des abus sexuels sur enfants, cela va se retourner contre elle. Par exemple : si une mère veut protéger son enfant du père abuseur sexuel, c’est un SAP (elle veut enlever l’enfant au père.) et pour cela, son enfant lui sera enlevé et donné au père agresseur.
Ainsi, dans les cas de pédophilie intra-familiale, les mères ne peuvent rien dire, rien faire, tout se retournera contre elles. Leur seule solution est de se taire. C’est le propre des systèmes mafieux.
Quelques mécanismes d’un système pervers
Ce système pro-pédophile pervers qui sert à protéger des pervers sexuels est truffé de mécanismes pervers. En voici quelques-uns :
a) Double contrainte ou double bind : à la fois une obligation avec sanction très grave et une interdiction symétrique avec sanction très grave.
Par exemple : obligation de dénoncer la pédophilie intra-familiale (risque d'emprisonnement, de perte et d'abus de l'enfant) et interdiction de la dénoncer (risque d'emprisonnement, de perte et d'abus de l'enfant).
b) Retournements de situation : attribuer ses propres actes/mécanismes à autrui.
Par exemple : l’emprise typique du pervers sexuel sur l’enfant est renvoyée par lui à la mère qui tente de l’empêcher de mettre son emprise sur l’enfant (l’agresseur obtient ainsi la garde de l’enfant), etc.
c) Omerta (personne ne parle)
d) Transgressions de cadre, intimidations, menaces, représailles violentes.
e) Dévalorisation et pathologisation : la personne qui dénonce est folle et/ou malade, etc.
L’appellation du SAP est elle-même perverse
L’appellation Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP) est :
phonétiquement perverse (amalgame/confusion avec l’aliénation mentale),
usurpatrice de terminologie médicale (syndrome, aliénation),
discriminatoire (association entre aliénation et folie).
Voir mon billet :
http://blogs.mediapart.fr/blog/dominique-ferrieres/121112/lappellation-syndrome-dalienation-parentale-perverse-usurpatricLa mécanique perverse du SAP : diagnostic sur une tierce personne
Dans ce prétendu « syndrome », une personne est stigmatisée : celle qui dénonce un parent dans la famille. La plupart du temps, ce sont les mères.
Statistiquement, en cas de séparation, dans 90 à 98% des cas, ce serait donc la mère qui « aliènerait » l’enfant (le rendrait « autre) en le manipulant[9]. L’enfant servirait alors à diaboliser le père (dire du mal de son père, dire qu’il en a peur, etc.) et le père serait une victime de la mère (un père maltraité).
Selon cette théorie, la personne aliénée (devenue « un autre ») n’est donc jamais la personne porteuse du prétendu syndrome. Le syndrome ne peut donc être diagnostiqué que sur une tierce personne et non sur la personne stigmatisée.
Pour les cas de pédophilie, si l’on suit cette théorie, l’aliénation parentale devrait donc être validée par l’expertise de l’enfant. Et avec le SAP, si l’enfant dit du mal ou a peur du parent agresseur, c’est qu’il est « aliéné » par le parent qui dénonce de la pédophilie intra-familiale. Cette mécanique est d’une perversion diabolique.
Pourtant, malgré cette théorie qui suppose la présence d’un diagnostic pour savoir si l’enfant est « aliéné » ou non par la mère, les services de la protection de l’enfance ne se donnent même pas la peine d’entendre l’enfant. Le diagnostic de SAP se fait immédiatement au moment de la dénonciation de l’acte pédophile, en écoutant la mère. Etrange diagnostic !
Il est vrai que faire un réel diagnostic sur l’enfant serait peut-être gênant pour les acteurs du système de protection de l’enfance. La mère ne pourrait éventuellement plus être accusée de SAP, puisque l’enfant ne diaboliserait peut-être pas le père. En effet, la plupart des mères qui dénoncent des actes de pédophile intra-familiale savent parfaitement protéger leurs enfants et les préserver de jeux pathologiques.
Perversion : la dénonciation ne peut se faire qu’au moment de la séparation et le SAP dit que toute dénonciation au moment de la séparation est un SAP
Pour le SAP, le simple fait que les dénonciations se fassent essentiellement lors des séparations, cela signifie qu’il s’agit de conflits de couple et donc d’aliénation parentale (fausses allégations).
Or, tous ceux qui connaissent ces situations savent parfaitement que c’est précisément au moment de la séparation d’avec un père pédophile que les mères sont obligées de dénoncer ces actes. Si elles ne font rien, l’enfant se retrouvera seul avec son père et elles ne pourront plus protéger l’enfant.
Avant la séparation, il est impossible voire extrêmement dangereux pour une mère de dénoncer de tels actes en restant avec le père pédophile qui est, rappelons-le, un pervers narcissique. Le père risque de devenir encore plus pervers, violent, voire vouloir que la mère disparaisse et lui laisse l’enfant à lui seul à jamais.
Pour cette raison, les spécialistes de cette question déconseillent fortement aux mères de rester avec le parent agresseur de l’enfant lorsqu’elles l’ont dénoncé.
La plupart des femmes qui dénoncent ce type d’actes ont d’ailleurs elles-mêmes subi de la violence conjugale (psychologique et/ou physique). Tant que cette violence ne touche qu’elles-mêmes, elles arrivent à tenir le coup. Mais quand elles voient que leurs enfants commencent aussi à subir de la violence, de la maltraitance, c’en est trop : elles se séparent et dénoncent (quand elles ont le courage de le faire et de confronter ce système pervers).
La plupart du temps, elles sont tellement usées, fatiguées et démolies par la violence conjugale qu’elles n’ont même plus le courage de dénoncer, de faire face aux services sociaux et à ce système destructeur.
Ainsi, quand elles arrivent auprès des services sociaux de la protection de l’enfance, elles sont perdues, déjà détruites par la violence conjugale. Et elles se trouvent face à un même système pervers qui va les détruire encore plus.
[1] Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders(DSM)
[2] Ça se passe près de chez vous : des filles incestueuses aux mères aliénantes
http://sisyphe.org/spip.php?article2265[3] Le retournement est un mécanisme typique de la perversion
[4]
http://books.google.ch/books/about/La_haine_de_l_amour.html?id=SAxN0TgfiNMC&redir_esc=y[5] Le 95% des délinquants sexuels sont des hommes.
[6] Voir par exemple : « Enfance Victime » de Martine Nisse.http://www.decitre.fr/livres/L-ENFANCE-VICTIME.aspx/9782841920556
[7] Le 95 % des délinquants sexuels sont des hommes
[8] De nombreux professionnels soutenant des victimes de pédophilies ont été détruits par les associations de pères (SOS Papa, etc.) et ont tout perdu.
[9] Dans certains cas, la mère « aliènerait aussi le père
*** Mais cet article semble oublier les mères pédophiles... ou la pédophilie des mères...dommage