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 Ceux qui "osent" ...parler du sujet

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MessageSujet: Affaire Dugé (3)   Ceux qui "osent" ...parler du sujet - Page 2 Icon_minitimeDim 2 Aoû - 6:44

Ce texte purement INFORMATIF ne doit en AUCUN CAS être pris comme une, incitation à la débauche

L'affaire de mœurs de St Ouen

Jacques Dugué s'explique (II)

Les savants, disent, qu'un homme normal produit en moyenne dans sa vie, 400 milliards de spermatozoïdes !

Pourquoi cette prolifération voulue par la nature ? Si ce n'est bien sûr, pour assurer la reproduction, mais aussi pour avoir des plaisirs, sous des formes aussi bien hétérosexuelles, qu'homosexuelles.

Et bien, ces jeunes, ils feront comme nous. Ils se marieront, ou vivront en couples libres et ils auront des enfants, et eux, au moins, ils les aimeront. Et si leur femme a aussi des goûts homosexuels et les pratique, à coup sûr, le couple sera uni et heureux.

Les femmes sont autant homosexuelles que les hommes. Mais cela est mieux admis. Pourquoi d'ailleurs ? Et l'égalité des sexes ? Pour concrétiser ces exemples, je dirai, que les garçons que j'ai connus jeunes, avec qui j'ai échangé des relations sexuelles, sont actuellement fiancés, et certains sont même mariés et ont des enfants, et ils sont heureux.

Même avec leurs penchants, ces couples ont des enfants. Et en plus ces enfants sont aimés et heureux. Que demande de plus la société ?

J'ai même revu certains de ces garçons. Notre amitié réciproque, soudée à leur tendre jeunesse, reste inébranlable. Elle n'est faite que de bons et délicieux souvenirs. Elle est dans leur cœur et dans leur esprit, quelque chose de grand et de beau. Quelque chose qu'ils sont heureux d'avoir vécu et de se rappeler et si c'était à refaire, tous referaient pareil.

Ces gens-là, ne se sentent coupables que par rapport aux lois actuelles absurdes et non pas par rapport à ce qu'ils sont et ce qu'ils font.

Car ils sont conscients, nous sommes tous conscients, que des rapports sexuels et affectifs libres sont une source inestimable d'affranchissement de plaisirs, d'épanouissement et d'amitié. Ils entrent dans une compréhension plus vaste de l'amour.

Leur gentillesse, leur générosité, leur gaîté, leur tolérance, leur pacifisme, leur antiracisme, leur respect des règles et des libertés d'autrui, sont quelques unes des qualités qui les différencient des « autres » et à quoi on les reconnaît. Si ce ne sont pas des qualités humaines remarquables, qu'est-ce que c'est ?

Malheureusement, ce ne sont pas toujours les qualités que l'on rencontre chez des couples hétérosexuels où l'on rencontre plutôt égoïsme, jalousie, méchanceté, discordes, infidélité, bêtise, hypocrisie, violence et racisme, et souvent ces gens croient en Dieu !

Ce sont eux qui nous ont créé ces lois inhumaines contre la liberté sexuelle (le gouvernement de Vichy, des guerriers, des fascistes, des catholiques). Ces lois sont désormais anachroniques et rétrogrades, parce qu'encore imprégnées d'un passé religieux (qui n'est pas glorieux. Il n'y a qu'à lire l'histoire, il n'y a que des erreurs) fait de tabous, d'interdits, d'obscurantisme, qui depuis des temps, oppriment les individus et les privent de joies et de plaisirs libérateurs.

Des lois qui peut-être rassurent certaines gens anxieuses, mais oppriment beaucoup d'autres. Et c'est encore à vérifier, car il semblerait bien qu'envers et contre les lois, qu'il n'y a jamais tant eu de relations sexuelles enfants/adultes, que de notre temps.

Une récente étude française a démontré que un cas sur 100.000 rapports sexuels entre enfants et adultes, était connu de la justice !

Avouez que je n'ai vraiment pas de chance. Que c'est une réelle injustice et qu'en plus les peines énormes encourues sont lourdes, vraiment démesurées pour des actes, qui ne font que du bien aux intéressés et ne porte préjudice à personne. Qu'on supprime ces lois inhumaines.

Qu'on laisse vivre l'amour.

Qu'on ne laisse subsister des lois, que pour les actes sexuels, consommés avec violence, qui sont d'ailleurs, le plus souvent, le fait d'actes commis par des hétérosexuels irrascibles, sur des petites ou des jeunes filles.

Que les parents qui veulent protéger leurs enfants du sexe (ils se leurrent, mais cela les regarde) prennent un peu leurs responsabilités et informent et éduquent leur progéniture dans ce sens. Que les lois ne soient pas leurs complices et les rendent indifférents et irresponsables.

Qu'on arrête de persécuter ceux qui aiment les enfants, même s'ils les aiment aussi avec leur corps. A force de toujours les humilier, de les pousser dans leurs derniers retranchements, de toujours les obliger à renoncer, on finit pas les enfermer dans un ghetto sexuel, qu'ils ne veulent plus. Et pour les enfants c'est pareil.

A force de les culpabiliser, à force de les traumatiser, à force de les obliger à toujours choisir, ils choisiront et ce ne sera peut-être pas toujours le bon choix.

Personnellement, je n'avais aucun intérêt à ce qu'ils deviennent homosexuels ou hétérosexuels. Si j'avais eu un souhait à faire, c'aurait été qu'ils soient les deux, parce que cela me semble le plus correspondre à la nature, parce que l'on est d'abord attiré par un être qui plaît, et que l'on aime, avant d'être attiré par un sexe.

Mais je n'avais pas à décider pour eux. Ils se personnaliseront eux-mêmes. Ce que je désirais avant tout, c'est qu'ils soient eux-mêmes, bien dans leur peau et heureux. C'était aussi ma façon de les aimer.

Et si vous pensez que mon comportement les a influencés, sachez qu'ils auront bien d'autres influences dans la vie, et que c'est seulement avec cette somme d'influences, qu'ils se feront homme et feront leurs propres choix. Les aimer, c'est au moins leur laisser cette liberté. Moi, je les ai aimés, et c'est pour cela que j'ai eu des relations sexuelles avec eux.

Ce n'était pas de l'homosexualité. Ce n'était pas de l'hétérosexualité.

Tout cela, après tout, ce ne sont que des mots. Ce n'était que de l'amour. L'amour d'un homme pour des jeunes.

Des femmes peuvent aussi bien aimer sexuellement des enfants. D'ailleurs, cela existe et se fait, heureusement.

Mais pourquoi un homme n'aurait-il pas le droit d'aimer un enfant si c'est aussi le désir et le bien de l'enfant. Quelle est la loi naturelle qui l'interdit ?

L'enfant ira toujours vers celui qu'il aime! que ce soit un homme ou une femme. Cela est une loi humaine naturelle, et ce ne sont pas les lois d'hommes impossibles, qui changeront les choses.

L'enfant a besoin et aura toujours besoin de compréhension et d'affection, et s'il le désire, la relation sexuelle, est une partie de la concrétisation de cette affection, soudée dans le plaisir et la complicité. Il ira toujours vers la personne qui lui apporte cet épanouissement et cet affranchissement. Les mentalités changent, mais pas les lois !

Ce n'est pas normal. Il faut cesser la répression sexuelle. Il faut libérer les esprits. Les lois n'ont pas à aller à contre sens.

Il faut le droit pour tous, aux plaisirs et à la différence.

Peut-être ne l'admettez-vous pas, peut-être n'en êtes-vous pas conscient, je ne le sais pas. Mais je dois vous le dire, que vous avez (enfin la Police et vous) détruit une belle et forte amitié entre les garçons et moi. Quelque chose qui était très important pour eux, et que rien ne remplacera.

J'ai été meurtri par cette douloureuse affaire, mais les jeunes, eux aussi l'ont été, croyez moi, et ce n'est pas avoir voulu leur bien, que d'avoir agi ainsi.

Il y avait sûrement autre chose à faire. Il ne faut pas juger sur les apparences et les photos. L'important c'est justement ce qui ne se voit pas. C'est ce qui se ressent.

Ce n'est pas non plus par une étrange coïncidence si dans les prisons, ce sont ceux qui sont incarcérés pour avoir aimé des mineurs, qui se suicident le plus. Peut-être voyez-vous les statistiques ?

Parce que vous ne pourrez jamais savoir combien cette séparation avec des êtres que l'on aime de tout cœur est cruelle, combien il est dur de se faire traiter de criminel, alors que l'on sait combien les jeunes nous aime et combien on leur manque. Non, c'est bien cette séparation qui est criminelle et les lois qui sont injustes.

Je sais bien que sur cette terre, il y aura toujours, hélas, une partie des hommes qui persécuteront et feront souffrir l'autre partie silencieuse. Mais ce n'est pas une consolation.

Il faut changer la vie.

Jacques DUGUE
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MessageSujet: Affaire Dugué (4)   Ceux qui "osent" ...parler du sujet - Page 2 Icon_minitimeDim 2 Aoû - 6:46

Un message de Dugué avait été découvert chez un pédophile américain dans lequel il expliquait qu´il fallait "pervertir les enfants pour qu´une nouvelle génération de pervers nous succède". Jacques Dugué avait eu son heure de célébrité, les 26 et 27 janvier 1979, lorsque le journal Libération avait publié deux pleines pages de tribune libre. Dans ce texte, le pédophile citait l´exemple d´un de ses amis, sodomisant régulièrement le fils âgé de 11 ans de sa compagne.

"Le gamin demandait de lui-même la sodomisation et y prenait un réel plaisir qui était physique, mais aussi affectif", écrivait-il, ajoutant que les enfants qui avaient subi ce genre de traitement étaient "autrement équilibrés, parce que plus heureux que les voyous que nous amènent beaucoup de couples hétérosexuels intolérants".

( pour Infos SEULEMENT)
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MessageSujet: Sur le vif, quelques réflexions sur la sexualité   Ceux qui "osent" ...parler du sujet - Page 2 Icon_minitimeVen 14 Aoû - 8:00

sur le vif, quelques réflexions sur la sexualité

Nous sommes tous bisexuels, androgynes et hermaphrodites. Abolition des genres et des ghettos sexuels. Ce n’est pas la sexualité qui est sale, mais les violences et la domination.

Au-delà des pratiques plus ou moins exclusives, il est possible de dégager la véritable nature de la sexualité humaine. Finis les tabous et la séparation des sexes si propices à la perpétuation du "système" !

S’il s’en donne la peine, l’être humain est parfaitement capable de briser toutes les barrières artificielles et criminelles installées par les pseudo-sociétés (actuelles et passées) pour asservir et mutiler les gens sur les plans psychique, affectif et sexuel. Les différences d’âge et de sexe ne devraient pas avoir plus d’importance que la couleur de la peau ou des cheveux. L’homosexualité est maintenant assez bien reconnue dans certains pays, et on ne voit pas au nom de quoi on devrait interdire absolument des relations adultes-enfants. Il n’y a aucune raison valable d’interdire quoi que ce soit dans le domaine de la sexualité. Du moment que les partenaires sont libres et consentants, qu’ils ne subissent de contraintes d’aucunes sortes, ils devraient pouvoir faire ce qu’ils veulent.
Ce n’est pas la sexualité qui est sale, c’est la violence, l’irrespect, l’éventuelle superficialité, l’hédonisme primaire, l’instinct de domination et d’appropriation de l’autre.

Et qu’on ne me fasse pas le coup de "la sexualité c’est réservé à la procréation et donc ça ne concerne que des mâles et femelles en âge de procréer". Tout le monde sait bien que la procréation n’est qu’accessoire et que la sexualité n’a rien à voir avec le besoin de procréer. D’autant que la sexualité ne se limite pas aux seuls organes génitaux et s’étend à tout le corps et même au-delà. D’ailleurs, les animaux s’adonnent aussi au sexe pour le plaisir, et même à l’homosexualité. Il y a même des espèces animales qui sont hermaphrodites ou qui changent de sexe au cours de leur vie.

Ce n’est pas parce que des criminels abusent de leur force physique ou de leur force de persuasion pour violenter des enfants que la possibilité de relations adultes-enfants est à rejeter dans tous les cas.

D’ailleurs, au sein des familles et des couples hétérosexuels standards, on observe des tas de violences (sexuelles ou autres), et on n’interdit pas pour autant la famille et le couple hétérosexuel. Au contraire, on l’encourage. Sans parler des viols entre mineurs, des diverses discriminations dont sont victimes les femmes de par le monde dans des pays de sexualité dite "normale".
De plus, les criminels sexuels (qu’ils s’en prennent à des enfants ou à des adultes) ne sont pas les seuls responsables de leurs crimes, la "société" (ses tabous, ses violences, ses tentations perverses et contradictoires...) et la famille qui les a élevés sont souvent tout aussi responsables de leurs dérives tragiques.

Note (pour éviter aux personnes mal intentionnées de me prêter de mauvaises intentions) : je ne recommande en aucune façon de violer la loi, s’agissant des mineurs.

Dans une société vraiment humaine, les enfants seraient mûrs beaucoup plus tôt. Ils deviendraient rapidement adultes au lieu qu’on les maintienne dans un infantilisme débile propice à tous les conditionnements sociaux. Je précise que nous n’encourageons pas à ignorer la loi, on est bien obligé de s’y conformer pour éviter de se retrouver en taule. Mais il est important de dénoncer l’absurdité et la violence des lois qui interdisent des relations (sexuelles-affectives) enfants-adultes et enfants-enfants (ou encore l’homosexualité, dans de nombreux pays). Il est important de dire que l’Amour ignore les frontières, que les choses pourraient se passer autrement si les gens étaient moins barbares. Avec des humains un peu évolués, des lois stupides ne seraient plus nécessaires pour tenter de contrôler les violences éventuelles, les tabous disparaîtraient et la sexualité ne serait qu’une composante de la relation parmi d’autres. Le sexe ne poserait pas plus de problème que le fait de manger ou dormir.

Encore une fois, si une relation entre deux êtres humains est exempte de violences et de contraintes, si cette relation est envisagée dans une ambiance d’égalité, de respect mutuel, d’entraide mutuelle, d’élévation intellectuelle, artistique, spirituelle..., il n’y a AUCUNE raison de l’interdire. Et ce quel que soit l’âge ou le sexe des partenaires. En précisant qu’une relation, idéalement, devrait se vivre sous tous les plans : spirituels, intellectuels, artistiques, affectifs, sexuels.... Une relation devrait être un tout harmonieux, la sexualité fait partie de l’ensemble, et on ne voit pas pourquoi on exclurait telle composante (sexuelle ou autre d’ailleurs), sous prétexte que les tabous et les habitudes arriérés condamnent l’homosexualité ou les activités sexuelles au-dessous de 14 ou 12 ans.

Evidemment, on ne pourrait avoir le même genre de sexualité avec un jeune de 10 ans, un adulte de 30 ans ou un vieux de 70 ans. Les gestes et "techniques" sont, bien entendu, à adapter selon les âges, les goûts et souhaits de chacun.

En fait, la "société" a peur de tous les comportements hors normes qui risqueraient de mettre à bas ses fondements (famille hétérosexuelle, couple exclusif, infantilisation des enfants comme des adultes...). Les gens ont peur de leur propres pulsions, de leurs violences non-maîtrisées et des ouvertures possibles. Et ils prennent prétexte des violeurs d’enfants pour condamner la vraie pédophilie, car ils ont bien trop peur de réfléchir et de se remettre en cause. C’est plus facile d’accuser des criminels caricaturaux que de s’interroger sur la sexualité. C’est plus facile de se défouler contre des violeurs que de regarder en face tous les tabous.C’est plus facile d’accuser les autres de tous les maux que de reconnaître la part de responsabilité collective qui revient à tous ceux qui cautionnent une société criminogène.
Souvent, ceux qui dénoncent l’homosexualité ou la pédophilie authentique(sans violences ni contraintes) en les traitant d’activités sales et répugnantes sont bien plus sales que ceux qu’ils s’efforcent de dénoncer sans réfléchir. Ils n’y a qu’à voir comment est traitée la sexualité dans la plupart des films grand public, ça ne fait pas envie. Si les gens dits "normaux" étaient moins pervers et sales, peut-être qu’il y aurait moins de prostitution, moins de pornographie débile, moins de films caricaturaux où on exalte la séduction outrageante et la baise à tout va.
Qui fréquente les prostituées ? Qui achète des services sexuels à des filles le plus souvent battues et contraintes de faire ce sale boulot ? Qui ?? Eh bien le plus souvent, il s’agit de bons pères de famille, des modèles qu’il conviendrait de suivre !!

Dans toute l’industrie publicitaire et cinématographique, les femmes (et les hommes) sont sexualisés de manière caricaturale . On aguiche par tous les moyens les spectateurs avec tous les artifices de séduction possibles : femmes-enfants, femmes-fatales, hommes-héros-musclés, jeunes-bien-lisses... Les mass médias excitent tant qu’ils peuvent les instincts sexuels, mais attention, il est interdit de passer à l’acte hors des normes établies. Sans même parler de ce qui est appelé pornographie, le marché du sexe réalise des profits colossaux grâce à la misère sexuelle générale qu’il contribue à renforcer. Les pubs "érotisées" omniprésentes permettent de manipuler à loisir en faisant fantasmer dans le vide. A défaut de réaliser leurs désirs secrets ou simplement leurs "besoins" légitimes, les consommateurs se jetteront sur les objets "proposés" comme substituts par la pub. Et ça marche !!
Mais attention, si la sexualité stéréotypée (pénétration d’un vagin par une verge) s’étale dans tous les médias, des tas d’interdits, officiels ou officieux, sont là pour que les gens restent bien tranquilles. En gros, vous avez le droit, et même le devoir, de baver tant et plus devant les pubs avec des filles le cul à l’air avant de vous farcir bobonne, mais il est strictement interdit de sauter sur n’importe qui, d’aimer des ados, d’aimer plusieurs partenaires, de rejeter la famille au profit de la communauté, de vous promener librement en robe (si vous êtes un mâle) ou à poil, d’initier vos enfants aux jeux de l’amour... Sans compter les pays qui exécutent les homosexuel(le)s.
Bref, la liberté sexuelle est surtout réservée aux mass médias, elle sert à faire acheter, pas à développer la subversion générale. A notre époque, la liberté sexuelle n’est plus qu’un leurre factice qui est utilisé pour nous rendre prisonniers de pulsions primitives. La pub exploite de manière éhontée une fausse liberté sexuelle pour nous enfermer davantage dans ses filets commerciaux.

En fait, la bisexualité (ou plutôt l’omnisexualité comme le dit A. Larochelle) devrait être la règle pour tous. Nous sommes tous fondamentalement bisexuels, et même omnisexuels. Mais les gens préfèrent intérioriser et accepter toutes les mutilations barbares et absurdes que leur imposent leurs parents et tout le système social afin de vivre tranquilles dans la prison coconneuse que le système leur a fabriquée sur mesure. Et ils se contentent de s’agglutiner dans des couples hétérosexuels ou homosexuels misérables en hurlant contre les prétendus "déviants" qui leur rappellent leur déchéance consentie. Qu’il y ait des tas de violences dans les familles, que des tas de couples divorcent ou que des partenaires qui se sont juré fidélité aient des tas d’amant(e)s n’ébranle même pas leurs certitudes préfabriquées.

( suite surt le post suivant)


http://liliahess.blogspot.com/2009/08/bisexualite-heterosexualite.html


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MessageSujet: Sur le vif ( suite du message précédent) (2)   Ceux qui "osent" ...parler du sujet - Page 2 Icon_minitimeVen 14 Aoû - 8:04

Les plus grands criminels sexuels sont en fait les ardents défenseurs de la famille et du couple hétérosexuel puisqu’ils militent pour la mutilation dès l’enfance des virtualités humaines, et qu’ils préparent le terrain aux violeurs. Des gens frustrés, mal aimés dans leur enfance par des parents inaptes, bloqués par les tabous sociaux..., auront beaucoup plus de risque de devenir des violeurs que s’ils étaient élevés dans un milieu libre, égalitaire, aimant, qui les pousserait vers le haut au lieu de les tirer vers leurs plus bas instincts. Au passage, les malheureuses victimes de violences sexuelles feraient mieux de remettre en cause les structures sociales aberrantes qui ont favorisé l’essor de ceux qui les ont agressés plutôt que de se focaliser sur les seuls agresseurs.

L’être humain est à la fois homme et femme. Certaines femmes sont bien plus viriles que certains hommes, et certains hommes sont bien plus féminins que certaines femmes. La différenciation des êtres humains selon les sexes repose sur du VENT, on aurait pu tout aussi bien les classer selon la couleur de leurs cheveux ou la longueur de leurs pieds !! Des différences physiques si mineures ne peuvent en aucun cas justifier une telle séparation.

Toute la "littérature" fondée sur les prétendues attirances irrépressibles et "naturelles" entre garçons et filles repose en grande partie sur rien, sur des préjugés et sur la volonté de faire rêvasser les gens avec des histoires à l’eau de rose. Il ne s’agit pas de nier les organes génitaux, mais de bien se rendre compte qu’ils ne sont qu’une caractéristique secondaire. La vraie personnalité est bien plus subtile et plus profonde que la soi-disant identité sexuelle.
Avec les connaissances génétiques et hormonales actuelles, les scientifiques savent bien que la frontière H/F est en fait tout à fait floue. Le mélange masculin/féminin ne se situe pas seulement au niveau psychologique. D’un point de vue biologique, hommes et femmes ne sont pas si différents qu’on veut nous le faire croire. On classe encore les gens en garçons et en filles uniquement pour se rassurer et perpétuer les traditions de domination (encore une fois, voir article de Sciences et Avenir, ou un article paru dans le Monde 2 du 20 juin 2004).

Chacun est composé d’un subtil mélange de féminité et de virilité, ce mélange est totalement indépendant du sexe physique. Selon les situations et les activités, une femme ou un homme (au sens habituel) aura des comportements virils ou féminins, et c’est très bien ainsi. Ceux qui veulent inculquer, dès la naissance, des comportements stérérotypés aux enfants (garçons-voitures, filles-poupées) en fonction du sexe physique sont de véritables bourreaux qui obligent les jeunes à se séparer d’une grande part d’eux-mêmes. Cette mutilation les atrophie et les fragilise, et il est dur (mais possible) de s’en remettre. Le fait que les adultes ont ensuite des comportements conformes aux attitudes qui ont été décidées pour chaque sexe ne prouve que l’efficacité des conditionnements (mais il y a des "ratés"...). Cette ségrégation sexuelle mutilante et barbare est un des plus grands crimes qu’ait jamais commis la prétendue humanité contre elle-même. Plus vite on y mettra fin, mieux on se portera.
Si on ajoute à ça le fait que les enfants sont interdits de vraie sexualité et de vraies relations jusqu’à un âge avancé, on touche du doigt l’ampleur du désastre. Pour se perpétuer et asseoir sa domination sur les êtres, ce système social monstrueux n’hésite pas à infliger une terrible double mutilation aux enfants qu’il prétend par ailleurs vénérer et protéger ! C’est vraiment énorme !

Bien entendu, vous trouverez une armée de spécialistes (en désinformation) qui, bien qu’obligés de reconnaître la réalité de la bisexualité humaine et de la sexualité infantile, vous diront qu’il faut réprimer et oublier tout ça dans l’intérêt de l’enfant ! C’est comme si on disait : "votre enfant pourrait marcher à 2 ans, mais il vaut mieux le laisser ramper par terre jusqu’à 15 ans" ! Ces enfoirés sont les pires gardiens de l’ordre établi. La plupart utilisent leur aura "scientifique" pour imposer leurs conceptions arriérées de la sexualité humaine. Il est impossible de mesurer les conséquences de toutes ces vies brimées dès l’enfance, de toutes ces frustrations et incompréhensions, mais on peut être certain qu’elles sont énormes.

Prenons une comparaison : dans cette “société”, les êtres humains sont comme des poules de batterie dans une cage. Ils se blessent sans arrêt aux parois de grillage, car la prison n’est pas le milieu qui leur convient le mieux.Pour apaiser les souffrances, au lieu de supprimer la cage, les psys (la plupart) et les censeurs vont s’attacher à sectionner les membres blessés et à ligaturer tout ce qui dépasse du gabarit fixé par les normes en vigueur. Génial, on ne souffre plus (c’est encore à voir, tant qu’on a un corps et une conscience...), mais au prix de morceaux en moins et d’un étouffement perpétuel. Le poulet de batterie, mou et sans saveur, devient alors l’idéal de l’humanité. Personne n’a le courage de sortir de la cage où on veut l’enfermer. Avec la complicité de ses propres victimes, le “système” fabrique des êtres fonctionnels, calibrés pour la vie de famille et la consommation, et aptes à reproduire indéfiniment le système d’oppression sur leurs propres enfants. Ce avec la bénédiction des Eglises officielles, des Etats, de la plupart des éducateurs, médecins, psys, philosophes... Bienvenue dans le camp de concentration à l’échelle planétaire fabriqué par, et pour tout le monde !

La bisexualité, ce n’est pas la confusion ou la recherche du plaisir hédoniste, c’est au contraire assumer en conscience sa nature humaine en se dressant contre les pressions externes mutilantes. Ce qui n’interdit pas à priori des relations qui ne durent pas dans le temps, à condition que les choses soient claires et que les partenaires ne cherchent pas à fuir par ce biais tout type d’engagement.

Il faudrait abolir définitivement cette distinction homme/femme en la rendant complètement anecdotique. Tout être humain pourrait s’adonner à n’importe quelle activité, les tâches seraient accomplies par tous (finies les tâches spécifiquement "féminines" ou "masculines"). Supprimons aussi le mariage qui limite scandaleusement l’amour humain à un seul couple. On pourrait donner des prénoms masculins aussi bien aux garçons qu’aux filles (même chose pour les prénoms féminins). D’ailleurs, on pourrait inventer des prénoms androgynes. Il faudrait aussi transformer le langage pour effacer les distinctions abusives H/F. On pourrait par exemple dire "il" ou "elle" aussi bien à un garçon qu’à une fille, suivant les situations, suivant ce qu’on veut exprimer, en introduisant beaucoup plus de nuances que la bête "binarité" masculin/féminin actuelle. Sans parler des horreurs de type Talibans, Arabie Saoudite ou Iran, il est déjà abominable d’observer en Europe à quel point garçons et filles vivent séparément et ont souvent des relations fondées sur la violence ou les stéréotypes les plus vides. Ajoutons aussi l’absurdité de la séparation jeunes-adultes, jeunes-vieux...

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( suite sur le post suivant )


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MessageSujet: Sur le vif (3) ( suite du message précédent)   Ceux qui "osent" ...parler du sujet - Page 2 Icon_minitimeVen 14 Aoû - 8:07

Quelques mots à présent sur les mutilations chirurgicales horribles, inutiles et traumatisantes que subissent quantité d’enfants qui naissent plus ou moins hermaphrodites (ou intersexuels). Ces enfants (environ 6000 par an) naissent avec un mélange des deux sexes : un vagin et un long clitoris, une petite verge sans testicules, un vagin interne sans orifices de sortie..., toutes les combinaisons sont possibles. Eh bien, au lieu de laisser telles quelles ces merveilles de la nature en se contentant d’intervenir le minimum pour de strictes raisons de santé, certains barbares scientifiques forcent les parents à accepter pour leurs enfants des opérations lourdes qui laisseront des traces toute leur vie. Ils mutilent et bourrent d’hormones ces jeunes pour des raisons uniquement de convention sociale, pour qu’ils aient un sexe défini : mâle ou femelle.Il s’agit de rassurer ses amis en leur disant s’ils peuvent acheter un pyjama rose ou bleu ! Prétendus parents et prétendus médecins ne supportent pas cette soi-disant indifférenciation et veulent à tout prix clarifier les choses à coups de bistouri. Résultat : de nombreux hermaphrodites se trouvent très mal psychologiquement, sans parler des opérations à répétition, des traitements qu’ils doivent suivre éventuellement toute leur vie, des infections génitales fréquentes... Souvent, ils n’arrivent pas à avoir une vie sexuelle épanouie à cause des opérations. Une fois adultes, la quasi-totalité d’entre eux auraient préféré qu’on les laisse intacts. Souvent, ils se sentent toujours plus ou moins "ambigus". Mais ça ne fait rien, les chirurgiens nazis continuent leur sinistre besogne (environ 5 opérations par jour aux USA). J’ai vu sur France 3 un documentaire édifiant de Phillys Ward le 8 janvier 2001 sur le sujet.
Arbitrairement, les bourreaux fabriquent un vagin, raccourcissent un clitoris ou allongent une verge pour que les intersexuels ressemblent aux autres ! Ils se préoccupent moins du bien-être de ces hermaphrodites plus ou moins accomplis que du confort de l’entourage. ACH, tout le monde doit avoir un sexe clair que l’on peut marquer sur les papiers d’identité. Ils ignorent complètement les témoignages des personnes qui sont très contentes de leurs organes bizarres.
Les atrocités imposées aux hermaphrodites sur un plan physique sont exactement semblables à celles que la "société" impose à tout le monde sur un plan psychique. Pour les hermaphrodites, c’est encore pire puisqu’ils sont charcutés sur tous les plans.

Ce ne sont pas les hermaphrodites (ou intersexuels) qui sont des monstres, ce sont les imbéciles qui veulent les faire rentrer de force dans le moule de la bipolarité sexuelle. Les monstres, ce sont ceux qui se laissent faire par le système et qui détruisent leur part féminine ou masculine pour ne garder que celle qui correspond à leurs organes génitaux, car ils se transforment en unijambistes incomplets. Les hermaphrodites sont au contraire des messagers, des ponts très précieux entre les 2 sexes, un exemple de ce que pourrait être l’humanité. Par leurs prétendues difformités, ils traduisent sur un plan physique la bisexualité psychique qui est le fondement de chaque personne. Nous sommes tous des hermaphrodites dans nos têtes !! Qui sait si les êtres humains ne deviendraient pas tous hermaphrodites aussi sur un plan physique s’ils assumaient leur vraie nature bisexuelle ?

Il faudrait aussi sortir pour de bon de la famille, qu’elle soit bi ou mono-parentale, pour aller vers une forme de vie ensemble beaucoup plus conforme aux promesses de la nature humaine, à savoir la communauté. Un regroupement d’une dizaine de personnes serait profitable à tout le monde. Egalité absolue, pas de barrières d’âge ou de sexe. Chacun essaye de former un couple autonome avec chacune des autres personnes. Tous les adultes seraient parents des enfants éventuellement présents (chacun peut être père et mère). Ce fonctionnement faciliterait en outre les relations adultes-enfants et enfants-enfants. On ne parlerait plus d’inceste ou de pédophilie, mais d’amour et d’éducation ; on ne parlerait plus d’homosexualité, mais de relations entre deux humains... Toutes les sexualités exclusives, caricaturales et renfermées peuvent s’effacer devant la sexualité et l’amour, avec toutes les combinaisons et nuances possibles.

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Les escargots sont hermaphrodites

C’est ce type de structure que nous avons essayé de mettre en œuvre concrètement, sauf que nous nous sommes interdit les relations adultes-mineurs pour ne pas être des hors-la-loi. Je précise que nous ne nous livrons pas à la débauche et aux partouzes débridées, mais que nous envisageons d’avoir plusieurs relations en parallèle, dans le temps et de manière constructive. Une vraie communauté est très difficile à maintenir, mais le peu que nous avons pu mettre en oeuvre nous a démontré que nos idées étaient tout à fait bonnes et praticables. Pas besoin d’attendre l’an 3000 ou 4000, si on se débarrasse de nos violences et des conditionnements sociaux. C’est parfaitement possible, s’il y a un but commun solide.

Pour l’anecdote et montrer qu’il ne s’agit pas d’élucubrations dans le vague, quelques mots sur moi.
Personnellement, j’ai eu des relations avec des hommes et des femmes de différents âges (encore une fois pas avec des mineurs) et ça ne m’a posé aucun problème. Même si des restes de conditionnements me font plus "spontanément" loucher du côté des filles que des garçons, je crois que je suis parfaitement bisexuel, que je me moque complètement du sexe des gens. Ce qui compte, c’est l’amour, la profondeur, la tendresse, pas la couleur des organes. Si j’étais une femme, je serais au moins lesbienne et hétérosexuelle. Par moments, je me sens plus féminin, parfois j’ai une attitude carrément virile. J’essaye de ne rien réprimer et de laisser parler les 2 "natures". Par exemple, j’adore faire du VTT dans la boue, et à d’autres moments, j’aime porter des robes et des sous-vêtements en dentelle. Parfois, le soir à la maison, je m’habille en "fille". D’ailleurs, j’enrage de ne pas pouvoir librement mettre des robes et me balader dans le village alentour. La question des vêtements n’est pas importante en soi, mais elle montre bien que l’on ne peut pas faire ce que l’on veut, c’est symbolique des blocages actuels. Dans une véritable société, il n’existerait plus de vêtements féminins ou masculins. Il y aurait toute une gamme d’habits, et chacun porterait ce qui lui plaît suivant ses goûts, ses activités du moment, son physique... Une robe et des bijoux pour aller au ciné, un bleu pour bêcher le jardin, une jupe pour faire du tennis, un pantalon pour tous les jours... (d’ailleurs, on observe que dans d’autres pays des hommes portent des kilts, des burnous, des vêtements amples, des bijoux...)

- Un dernier paragraphe sur la transsexualité

Ceux qui se font opérer volontairement pour changer de sexe sont largement victimes des aberrations de cette "société", plus particulièrement de la bipolarité génitale exacerbée. Il est tout à fait normal que des individus porteurs de sexe mâle se sentent totalement féminins, ou que des individus porteurs de sexe femelle se sentent totalement masculins. Quoiqu’on puisse se demander s’ils ne poussent pas un peu le bouchon pour être mâle ou femelle comme tout le monde ? Mettons qu’ils estiment que leur vie psychique ne correspond pas du tout à leur sexe physique. Et alors ? C’est très bien, et ce n’est pas une raison pour s’engager dans des opérations longues, coûteuses et inutiles. On peut très bien vivre et assumer son psychisme particulier, quelle que soit la "couleur" de ses organes génitaux, de ses chromosomes et de ses hormones. Rien à cirer des impératifs sociaux artificiels d’adéquation organes/comportements.Moi aussi, j’ai parfois envie de changer de sexe, ou d’avoir les 2 en même temps (mon côté hédoniste), mais on ne peut pas toujours vouloir ce qu’on n’a pas.

Le problème vient des pressions constantes de la "société" pour que les femelles aient des comportements dits de filles et les mâles des comportements dits de garçons, ce au mépris du bon sens et de la réalité criante. Et ensuite, celles et ceux qui ne sont pas complètement étouffés, et/ou qui ont une féminité/masculinité débordante (en opposition avec leurs organes génitaux), vont se sentir "obligés" de changer de sexe. Certains vont même sombrer dans le suicide ou la prostitution, tellement ils seront rejetés et mal-aimés.

Qu’on se le dise : ce sentiment d’inadéquation entre le genre d’organe que l’on porte et ce qu’on a dans la tête n’a rien à voir avec une erreur de la nature, une confusion mentale, une maladie, une infirmité ou une quelconque tare. C’est parfaitement "naturel", sain et normal. Les tarés, ce sont ceux qui veulent vous faire des traitements chimiques ou psychiatriques pour vous faire ressembler aux mutilés ordinaires (ceux qui ignorent leur bisexualité foncière). Il faut l’assumer et le vivre au lieu de le réprimer ou de le "fuir" dans une opération de changement de sexe qui aurait l’air de donner raison à ceux qui prétendent qu’on doit être clairement homme ou femme.

Victimes des préjugés que la "société" a imprimés avec force en eux, les transsexuels croient qu’ils sont obligés de se faire opérer pour vivre enfin leur vraie nature. Une fois métamorphosés, certain(e)s vont même singer de manière caricaturale les comportements et costumes stérérotypés des garçons (gros bras, poils et débardeur) et filles (mini jupe ras la touffe et maquillage femme-fatale) certifiés conformes d’origine par leurs papiers d’identité.

Il est vrai qu’il est très difficile, dans cette "société", de s’assumer et de devenir soi-même. Des pressions énormes s’exercent sur celles et ceux qui veulent sortir des rangs de la dichotomie génitale. Il faut développer une forte personnalité et ne pas avoir peur d’être rejeté et montré du doigt pour vivre selon sa vraie nature. Encore faut-il savoir dégager sa véritable nature de la gangue de réflexes instinctifs que les mauvaises habitudes et la pseudo-éducation nous ont bourrée dans le crâne...

La solution n’est pas de changer de sexe, mais de vivre librement avec les organes que nous a donnés la nature (et qui sont forcément les meilleurs), en oubliant les injonctions normatives. Quitte à porter des jupes ou à délirer en Drag Queen s’il le faut. Dans une vraie société qui se préoccuperait réellement du sort des gens, finies les crispations sur les pénis, les seins ou les foufounes. Le fondement de l’identité serait ailleurs. Il n’y aurait plus de transsexuel(le)s, le problème ne se poserait même plus.En quelque sorte, chacun "changerait" de sexe en permanence par le biais d’activités variées qui couvriraient toute la gamme des attitudes féminines ou masculines. La féminité (écoute, tendresse, patience...) et la virilité (force, courage, esprit d’initiative...) sont des caractéristiques humaines qui sont en fait totalement dissociées du type d’organes sexuels dont on est porteur.

Comme pour l’hermaphrodisme, le "problème" des transsexuel(le)s est artificiellement et criminellement créé de toutes pièces par les structures nauséabondes dans lesquelles nous sommes obligés de survivre, en attendant de les reconstruire...

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( fin sur le message suivant)


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MessageSujet: Sur le vif (4) ( fin de l'article précédent)   Ceux qui "osent" ...parler du sujet - Page 2 Icon_minitimeVen 14 Aoû - 8:07

Extrait d’un texte de Jean Kinable : <<"la vérité sur le transsexualisme, c’est que contrairement à ce qu’ils prétendent en général -avoir une âme d’homme prisonnière d’un corps de femme (ou l’inverse)- les transsexuels ne sont ni hommes ni femmes, ils sont différents". C’est cette différence que Gabriel veut faire reconnaître. "Les transsexuels sont des mutants : différents d’une femme, quand elle est complètement femme, différents d’un homme, quand ilest complètement homme.Jesens et je sais, dit-il, que je ne suis pas une femme, j’ai l’impression que je ne suis pas non plus un homme. Les autres transsexuels jouent un jeu, ils font l’homme." Gabriel, lui, ne s’est jamais senti homme, mais c’est parce qu’il était sûr de ne pas se sentir femme, qu’il s’est dit homme. Le malheur des transsexuels, selon lui, c’est qu’il n’y ait pas de troisième terme, de troisième sexe. La société serait la grande responsable de cette bipolarité, dont les transsexuels subissent la contrainte.>>

- Conclusion

Dans tous les pays et à toutes les époques, des "déviants" sont présents en nombre : travestis, homosexuel(le)s, transsexuel(le)s, hermaphrodites en tous genres, pédophiles, Drag Queens, bisexuel(le)s... Leur nombre est certainement beaucoup plus important que ce qu’indiquent les statistiques, ce phénomène est souvent étouffé et obligé de rester caché. Si on ajoute tous ceux qui ont conscience de tendances qu’ils n’osent pas mettre en pratique (notamment l’homosexualité), ça fait beaucoup de monde susceptible de sortir de l’hétérosexualité familiale utile au système. Si on ajoute ceux qui ignorent leur état de bisexuels en puissance, on arrive à la totalité de gens !

Quels que soient leurs défauts et leurs limites, l’ensemble de ces "déviants" montre de manière irréfutable et flagrante que les normes sexuelles actuelles aggravées de la bipolarité génitale sont totalement criminelles et contraires aux immenses possibilités d’amour que porte l’humanité. C’est en fait la sexualité dite normale imposée partout (une verge dans un vagin, point) qui est une monstrueuse déviation, une atteinte permanente aux droits de l’homme et à la dignité humaine.

Il n’y a qu’à en voir les conséquences tragiques pour achever de s’en convaincre :

* viols en tout genre
* mariages forcés
* inégalités H/F dans tous les pays
* mutilations (hermaphrodites, transsexuels, circoncision..)
* misère affective et solitude généralisées, pour tous les hors cadres
* prostitution dans tous les pays
* suicides
* lynchage de gays ou de lesbiennes, de pédophiles non-violents...
* exclusion de tous ceux qui dérangent...etc...

La quasi-universalité des tabous (avec des nuances selon les cultures et les époques) montre que ce sont finalement les gens qui les réclament. Ils préfèrent s’automutiler d’une manière ou d’une autre plutôt que de prendre en charge leur vraie nature. Les temps semblent avoir bien changé depuis mai 68. A présent, on a l’impression d’un retour en force et en douce de toutes les formes de répressions.

Il n’empêche que l’abolition des interdits et de la classification génitale permettrait d’y voir plus clair et d’améliorer la situation. Ca ne ferait pas disparaître toutes les violences pour autant, faut pas rêver, mais ça supprimerait ce mauvais terreau si propice aux horreurs et aux injustices.
D’un autre côté, si les gens s’engageaient réellement dans cette redéfinition de la sexualité humaine, ça voudrait dire qu’ils commencent à changer de cap de manière générale. Ca voudrait dire qu’ils envisagent de vraies relations, la transformation de la violence en amour, le partage des ressources...

Le refus des Hommes de se prendre en main, de s’engager dans un Projet collectif humain, a fait naître des structures sociales aberrantes, elles-mêmes sources d’horreurs en tous genres, dans le domaine de la sexualité comme ailleurs. La solution n’est pas dans l’aménagement superficiel de ce qui existe, mais dans une redécouverte de l’Homme, de ce qu’il est et de sa "mission" sur Terre.

Il ne sert à rien de s’attaquer aux conséquences, il faut toujours remonter aux sources.

Pour finir, à ceux qui diraient qu’en prônant la bisexualité (et la disparition des lois qui répriment les relations enfants-enfants et enfants-adultes), je m’abaisse au rang d’animal, je répondrai que j’aimerais être aussi libéré que le sont les singes Bonobos qui pratiquent sans complexes et sans vergogne toutes les formes de sexualité, sans violences, et quel que soit l’âge ou le sexe des partenaires. Il faut souhaiter à l’humanité de devenir aussi évoluée que les Bonobos sur le plan de la sexualité.

Espérons que les êtres humains n’attendront pas l’an 3000 pour changer radicalement de cap (sur le plan de la sexualité comme sur tous les autres : politique, religieux, économique, santé, rapport à la nature...). Car en l’an 3000, il sera peut-être trop tard, les prétendus humains se seront totalement détruits et auront détruit la planète avec eux.

Publié par L I L I A ♥ à 04:57

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MessageSujet: Blackbird toujours   Ceux qui "osent" ...parler du sujet - Page 2 Icon_minitimeDim 30 Aoû - 7:00

Ce n'est pas une production maison, mais une pièce montée par le Théâtre des Célestins de Lyon qui lancera la saison du Théâtre du Nouveau Monde, le 8 septembre. Blackbird met aux prises un homme et une femme meurtris par une nuit d'amour clandestine partagée des années plus tôt. L'occasion pour Maurice Bénichou, comédien français associé au théâtre de Peter Brook, de fouler une scène québécoise pour la première fois.

Elle avait 12 ans. Lui, 40. Ils ont passé une nuit ensemble. Il dit qu'il n'est pas pédophile même si elle sortait à peine de l'enfance. Et ce n'était pas un viol. Une dizaine d'années plus tard, elle le retrouve. Par hasard, puisqu'il a changé de nom et s'est refait une vie. Elle n'a pas eu cette chance. Ce ne sont pas des retrouvailles, c'est un affrontement.



Ce n'est pas la première fois que la triste histoire de Una et Ray est jouée au Québec. Il y a quelques mois, elle a été présentée chez Prospero avec Catherine-Anne Toupin et Gabriel Arcand. «On ne sort pas indemne de ce Blackbird», écrivait alors ma collègue Sylvie St-Jacques. De fait, ce face-à-face apparemment sans issue, le dramaturge écossais David Harrower l'a orchestré de manière à secouer les idées reçues.

«Quand on lit attentivement la pièce, ça parle bien sûr de pédophilie, mais ce n'est pas exactement ça. Le sujet, c'est quand même un amour étrange entre une jeune fille et un type un peu plus vieux», souligne Maurice Bénichou, qui se mesure à Léa Drucker (la nièce de Michel, le célèbre animateur de télé) dans la version française qu'accueille le TNM.

«On n'arrive pas à dire que lui c'est un salaud ou qu'elle est une jeune fille épouvantable, une petite pute. On n'arrête pas de changer d'avis, poursuit l'acteur. Je crois que c'est l'histoire de deux êtres humains qui se sont perdus, et que la société dans laquelle ils vivaient n'a rien fait pour eux.»

Blackbird soulève les questions du consentement, de l'impact d'un tel acte, mais aussi de l'effet potentiellement dévastateur du regard posé sur l'homme et la jeune fille qui l'ont accompli. Des questions délicates, presque provocatrices, dans notre société qui tend vers le conservatisme et aime bien les points de vue tranchés. Surtout sur un sujet comme celui-là.

Un sujet qui fait peur

Jouée depuis plusieurs mois en Europe francophone, Blackbird a connu un démarrage difficile. «Les gens avaient peur du sujet, ils n'ont pas voulu l'acheter tout de suite. Ce n'est pas une pièce facile, reconnaît Maurice Bénichou, alors ils ont attendu.»

S'engager dans un tel projet n'est pas non plus une mince affaire pour un acteur. Maurice Bénichou admet avoir eu des sentiments partagés à la première lecture. «J'ai hésité... et en même temps pas du tout. J'ai compris tout de suite que ce Ray n'était pas un homme tout noir. Ce n'est pas un tueur, c'est un homme à qui est arrivée cette histoire, qui était peut-être un accident. Peut-être qu'il est pédophile, mais il a quelque chose à défendre», dit le comédien.

David Harrower met en scène des personnages complexes. «Comme nous tous», dit l'acteur, qui a également eu envie de plonger dans Blackbird pour se frotter à la langue brute du dramaturge écossais. Son texte n'a rien de bavard. Il est dépouillé, hachuré, truffé de phrases commencées, mais jamais terminées. Miroir parfait d'une conversation difficile, pleine de faux-fuyants.

«C'était très vertigineux, reconnaît Maurice Bénichou. Ça m'a beaucoup perturbé. J'ai mis beaucoup de temps à l'apprendre, mais une fois que l'ingurgitation a été faite, ça peut donner une liberté très grande. Donner l'impression que c'est totalement improvisé.» Ce texte stylisé, la metteure en scène Claudia Stavisky et ses acteurs ont cherché à le rendre de la manière la plus «naturelle» possible.

Du théâtre d'acteurs

Ce genre de théâtre sans ornementation, basé sur un conflit et où toute la place est laissée à l'acteur, n'a rien d'étranger pour Maurice Bénichou. C'est l'essence du travail qu'il a effectué pendant des années auprès du réputé metteur en scène britannique Peter Brook.

«L'acteur était non seulement au centre, mais devait également trouver seul son mouvement intérieur, précise le comédien. Je suis allé à une école extrêmement difficile où la liberté donnée à l'acteur est une responsabilité qu'il a envers lui-même et envers l'ensemble.»

Le comédien français aime le théâtre quand il pose un défi. Avant de reprendre Blackbird de janvier à la mi-mars, il se frottera d'ailleurs au Philoctète de Heiner Müller, dramaturge est-allemand (citoyenneté désuète qui a son importance dans son cas) qui ne donne pas précisément dans le théâtre populaire...

«J'adore me lancer dans une aventure dont je ne peux pas voir le bout, affirme Maurice Bénichou. Si j'en connais la direction, ça va, je peux aller voir. Mais si j'en connais déjà le but, si je sais par exemple que ça va marcher, je suis moins intéressé.»

Un extrait à voir sur YouTube:
https://www.youtube.com/watch?v=5O6vExQkbrI
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MessageSujet: Propos de Frédéric Mitterand ministre de la culture dans un de ses livres   Ceux qui "osent" ...parler du sujet - Page 2 Icon_minitimeMer 30 Sep - 6:14

Bon, d’accord. Mais c’est connu, il a écrit tout ça dans Mauvaise vie, un livre publié en 2005 chez Robert Laffont, célèbre éditeur de la place de Paris. Lisons :

« J’ai pris le pli de payer pour des garçons [...] Évidemment, j’ai lu ce qu’on a pu écrire sur le commerce des garçons d’ici .[...] Je sais ce qu’il y a de vrai. La misère ambiante, le maquereautage généralisé, les montagnes de dollars que ça rapporte quand les gosses n’en retirent que des miettes, la drogue qui fait des ravages, les maladies, les détails sordides de tout ce trafic. Mais cela ne m’empêche pas d’y retourner. Tous ces rituels de foire aux éphèbes, de marché aux esclaves m’excitent énormément […] On ne pourrait juger qu’un tel spectacle abominable d’un point de vue moral, mais il me plaît au-delà du raisonnable […] La profusion de jeunes garçons très attrayants et immédiatement disponibles me met dans un état de désir que je n’ai plus besoin de réfréner ou d’occulter. L’argent et le sexe, je suis au cœur de mon système, celui qui fonctionne enfin car je sais qu’on ne me refusera pas. »

Gosses, éphèbes, jeunes garçons... où s’arrête le désir de Monsieur ? "Le plus macho des lecteurs devrait être bouleversé par une telle transparence, une vérité si bien contée, confiée, et non déballée. Un mot résume autant l’être que l’écrivain Mitterrand : c’est l’élégance », peut-on lire sur le site de Radio France. Alors, s’il s’agit d’élégance...
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MessageSujet: Notre ministre de la culture pédo ????   Ceux qui "osent" ...parler du sujet - Page 2 Icon_minitimeMer 7 Oct - 4:59